Pour Borjas économiste américain, une hausse de l’offre de 10 % réduit le salaire hebdomadaire de 4 %, le salaire annuel de 6,4 % et la fraction du temps passé dans l’emploi de 3,7 %. Borjas conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aux USA aurait accru l’offre de travail d’environ 11 %, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2 %. Ainsi, Borjas, Freeman et Katz (1992 et 1997) attribuent le quart de la baisse de salaire relatif de dix points qu’ont subie les travailleurs n’ayant pas terminé leur éducation secondaire au cours de la période 1980-1988 à l’immigration, qui au cours de cette période a porté la proportion d’immigrés sur le marché du travail américain de 6,9 à 9,3 %.
L’Etat américain « amortit » un immigré mexicain sans qualification en 19 ans, avec le système social américain...
Les deux tiers des immigrés arrivant en France ont un niveau d’éducation inférieur au premier cycle des collèges, contre 30% seulement pour la Grande-Bretagne et 22% pour les Etats-Unis.
Les médecins viennent grâce au numérus closus !
Alors quand la barque coule à cause de l’importation d’électeurs hors de contrôle (codécision européenne et droit européen), un seul pari en profite ...