@walden :
L’auto-gestion,
selon vous,
« c’est décider la logique, la
fin, l’objectif
de ce qu’on fait, ce qui est incompatible
avec la logique de la valeur ajoutée »
Me
permettrez-vous un avis personnel sous
forme de « recadrage »
ou de
« chicane » ? ;-)
Si
je suivais votre raisonnement, les dirigeants des multinationales
japonaises (style Sony, Toyota), qu’on peut difficilement
soupçonner d’être favorables à l’auto-gestion comme vous
dites, pratiqueraient donc une auto-gestion totale. En effet, les
Nippons raisonnent à très long terme (25
ans) sur des objectifs qu’ils cherchent à atteindre : prise
de marchés de taille conséquente (marché américain, par exemple),
acquisition de technologies (cercles de
qualité, recherche et brevets). Et,
pourtant, le profit, donc la valeur ajoutée, reste la finalité. Le
passage de l’ère Meiji à la modernité forgea leur culture de
l’atteinte des objectifs, je crois.
Une
petite explication, peut-être ? I’m
interested. :-))
« il
n’y a pas eu nationalisation des terres mais redistribution »
La
« redistribution »
des terres ne suppose-t-elle pas logiquement une certaine forme de
« nationalisation »
(confiscation en vue d’une distribution plus équitable) ? :-p
Ai-je mal compris ?