Commentaire de COVADONGA722
sur Sourire quand même
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@jaja Barthas et genevoix ya ça aussi un roman qui explique la mort de la france rurale entre 1914/1918
La nuit d’avant, on avait vu le grand départ de tous les hommes. C’était une épaisse nuit d’août qui sentait le blé et la sueur de cheval. Les attelages étaient là dans la cour de la gare. Les gros traîneurs de charrues on les avait attachés dans le brancards des charrettes et ils retenaient à plein reins des chargements de femmes et d’enfants.
Le train doucement s’en alla dans la nuit : il cracha de la braise dans les saules, il prit sa vitesse. Alors les chevaux se mirent à gémir tous ensemble.
Giono : le grand troupeau
Derniers commentaires
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31/10 02:29 - norbert gabriel
Belle découverte par cette article très bien fait... Moi aussi je me souviens bien des billets (...)
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14/11 12:26 - Agafia
Merci Grandgil pour l’article... J’ai utilisé le repliage histoire de conserver (...)
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14/11 12:17 - Agafia
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14/11 10:46 - Romain Desbois
Agaffeuse. Vous traitez les gens de lâches sans les connaître et vous voudriez qu’ils se (...)
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13/11 13:03 - Romain Desbois
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13/11 12:39 - juluch
J’en ai parlé à ma femme.............elle veut pas divorcer !! Lol !!
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