J’ai eu le temps de regarder la vidéo jusqu’au bout. C’est mieux de la faire afin d’éviter d’argumenter dans la vide à partir de ses préjugés personnels (chacun en a c’est trop évident).
Je ne crois pas que le centre de la vidéo porte sur la valeur de preuve des expériences des uns et des autres. Le centre du sujet traité par la vidéo apparait dans les 5 à 10 dernières minutes de la vidéo.
D’un coté les chercheurs américains ont l’hypothése que le choix des centres d’intérêt des enfant dépend d’un mixte d’influences :
- de la génétique (via les hormones et peptides élaborés au cours de l’évolution) qui influence le cerveau de l’enfant à naître dès le ventre de sa mère et
- de l’éducation et du milieu.
De l’autre des chercheurs norvégiens qui ne retiennent que l’influence de l’éducation et du milieu.
Ce se demandent pourquoi les américains deploient cette frénésie à vouloir prouver une influence biologique sur les centres d’intérêt des enfants. Quand ils voient les expériences des américains ils ne veulent pas envisager les questions qu’elle posent et trouve ces expériences médiocres. Au fond envisager un mixte d’influence ne les intéresse pas et leur parait inutile à envisager.
Il y a donc un affrontement sur la méthode, sur le modèle expérimentale. La position norvégienne apparit nettement idéologique - tandis que ces mêmes chercheurs norvégiens trouvent les chercheurs américains frénétiques et obsèdès (par ce que eux refusent d’envisager).
Médiocre et très humain.
Pour mémoire chez Freud trois influences en non deux pour « expliquer » le développement psychologique de l’homme :
1. la génétique,
2. le milieu (éducation, environnement) ; et
3. l’histoire fantasmatique personnelle (cette donnée interne est irréductible par exemple si on veut trouver une explication au fétichisme, y comprs les « traumatismes »).