La question qu’on est en droit de se poser ne serait-elle pas la suivante : pourquoi dans ce contexte des fortunes colossales se constituent ?
(mon idée sur la question est qu’il s’agit d’une anomalie rarement dénoncée : l’informatique, les communications, la robotisation permettent une sorte de « vol » d’un acquis - de la recherche, de savoir-faire, d’ingéniosité - qui n’est pas évalué. Ce sont ces fameuses « bulles » contre lesquelles on ne voit aucun politique ou décideur d’une part prévenir et dénoncer, d’autre part remédier or il s’agit du travail de générations entières confisqué par quelques uns - NB qui passent pour des héros des temps modernes)
Passons sur les bulles qui ne profitent qu’à un petit nombre de gros malins.
Des bulles qui montent aux vagues de brassages, avant l’étale...
L’étale, pourrait être imaginée comme « justice sociale et paix durable » lorsque tous les pays auront à peu près le même développement, les mêmes exigences salariales, les mêmes exigences de qualité de vie. Alors peut-être pourra-t-on faire les ajustement nécessaires pour une « économie solidaire », l’économie du « développement durable »