@cassandre VOUS ECRIVEZ : « il faut être cohérent devant ce
débat du genre personne ne détient la vérité absolue il semble que tout cela
soit infiniment plus subtil qu’il n’y paraisse , les théoriciens du genre
doivent étayer leurs hypothèse par l ’observation clinique et sur un grand
nombre d’individus de tout origine , seul une méthodologie de recherche
clinique peut éclairer la question , malheureusement pour les " anti
gender " les observations actuelle semblent allez dans le sens des
sociologues , cependant il y a bien un développement « au féminin » et
« au masculin » du cerveau dès la 5 ème semaine de gestation l’histoire
pathétique des intersexués … ».
Le problème est que justement certain(e)s théoricien(nes)s
du genre en sont pas sérieux. Par exemple le texte d’hommelibre souligne bien le problème : « La fin du
reportage étale l’arrogance des « chercheurs » norvégiens, comme Catherine
Egeland avouant sans gêne sa propre limitation : « J’ai ce que vous appelleriez
des bases théoriques. Il n’y a pas de place pour la biologie là-dedans pour
moi. » Cette affirmation péremptoire est sidérante, l’approuvez-vous ou la
désapprouvez-vous ? Pensez-vous que derrière cette affirmation il peut y avoir
une position idéologique complétement no-scientifique ? Pensez-vous ue la
pseudo-théorie du genre puisse avoir – aussi – ses fanatiques ?
L’affaire des ambigüités sexuelle peut avoir une cause
génétique ou hormonale), mais croyez moi n’a rien à voir avec les questions de
psychologie dont nous traitons ici par ailleurs.
Encore une fois
je pose ma question montrez-moi rapidement un
exemple concret qui explique comment des potentiels évoqués de l’électro-encéphalographie
(et leur interprétation avec de gros calculateurs) combinés aux dosages
chimiques et hormonaux peut rendre –
aujourd’hui ou demain – l’équivalent de l’analyse des représentations et des
forces psychiques conscientes ou non – dont traire la psychanalyse (psychologie
des profondeurs et non psychologie comportementale). Merci d’avance.