La mondialisation poursuit un processus du nivellement vers le bas, après
l’ouverture des frontières (baisse des droits de douanes) et l’exploitation de
la pauvreté pour baisser les coûts des travailleurs, tout en augmentant les
marges bénéficiaires des grandes entreprises privées ou des multinationales qui
sont les seules capables de réaliser des importations et exportations massives
entre des territoires très éloignés géographiquement.
La diminution des coûts (investissements plutôt) du travail comme la CSG en
France et sociaux sont devenus les enjeux du capitalisme pour accroître ses
profits, par la compétitivité comme slogan, la concurrence par les inégalités
concernant le droit du travail, les coûts ou les investissements des protections
sociales et les revendications des citoyens, vont dans la direction vers un
nivellement vers le bas du niveau de vie.
La mise en concurrence des salariés, qui subissent les délocalisations, et se
retrouvent au chômage, et suivit par celles des salariés qui voient leurs droits
de la sécurité sociale et du travail baissés progressivement alors qu’il est
irréalisable de concurrencer des secteurs géographiques comme en Asie. Pourtant
toute concurrence avec des pays comme la Chine ou l’ Inde relève de capitalisme
du 19ème siècle, qui ne permets pas de créer des conditions de revenus
suffisantes par des salaires de misère.
La rigueur budgétaire qui frappe l’ Union Européenne, par la spéculation du
logement comme en Espagne, appauvrit de nouveau les populations, qui ne pourront
pas de toute manière avec une réduction de leurs revenus améliorer la situation
économique nationale. Une diminution du circuit de revenus/consommation, comme
l’austérité ou la baisse (parfois drastique) du niveau de vie le fait, par le
gel des salaires (public et privé) ou une absence de service public, ne va que
dégrader la situtation économique et social du pays.