Derriere l’arrivée de sarkozy sur la scene politique, au premier plan, il y a un pretexte et un sujet de fond.
Le pretexte, c’est le deuxieme tour de 2002 avec LePen.
Le moins qu’on puisse dire est qu’il n’etait pas le candidat des medias.
Le sujet de fond est que le partage du pouvoir mediatique est ancien, et que dans une democratie, celui qui controle les medias controle indirectement la democratie.
3 patrons de presse,
3 directeurs d’instituts de sondages et
3 communicants des agences de com sont plus efficace derriere le meme homme que le KGB et 3000 commissaires politiques derriere les dictatures de l’est...
Or ces groupes nous les voyons operer, nous les voyons modifier les règles d’admission aux elections, nous les voyons mettre en notoriété ceux qu’ils ont choisis et nous validons, a chaque election, ces tromperies.
Le changement ne se fera pas dans la douceur.
Aujourd’hui les votes de ruptures sont Lepen, Bayrou et Besancenot.
Mais au moins 2 de ces candidats la risquent de ne pas avoir leurs 500 signatures et cela ne sera peut etre meme pas couvert par ceux qui organisent le bruit mediatique.
Ceci dit, soyons confiant.
Comme dans toute pandemie, il y a des immunités qui apparaissent.
Les français pont montré en 2002 et en 2005 qu’ils etaient en train de devenir resistant a la propagande.
Ce n’est pas le triste bilan du gouvernement en place ou de son oppisition « officiele » qui devrait les dissuader de persister.