Je traduis :
"Je ne crois pas qu’accorder le mariage pour tous soit un bon service à rendre à la communauté noire.
Cette réforme menée à la hussarde en ce que la société n’est pas
prête, aurait à mon avis comme résultat d’exacerber la rancœurs racistes envers une communauté d’autant mieux admise qu’elle demeure
discrète. On en pense ce qu’on veut, mais les faits sont têtus ;
autant que les lobbyistes.
Dans ce domaine, il ne suffit pas de changer les mots pour changer
les regards, au contraire. Et je crois que les « autorités » n’en ont rien
à cirer.
A cons tendent tant d’heures, tu l’as.«
ou alors :
»
Je ne crois pas qu’accorder le mariage pour tous soit un bon service à rendre à la communauté juive.
Cette réforme menée à la hussarde en ce que la société n’est pas
prête, aurait à mon avis comme résultat d’exacerber la rancœurs antisémites envers une communauté d’autant mieux admise qu’elle demeure
discrète. On en pense ce qu’on veut, mais les faits sont têtus ;
autant que les lobbyistes.
Dans ce domaine, il ne suffit pas de changer les mots pour changer
les regards, au contraire. Et je crois que les « autorités » n’en ont rien
à cirer.
A bons en tondus, malheur."
Ou encore
"Je ne crois pas qu’accorder le mariage pour tous soit un bon service à rendre à la communauté étrangère.
Cette réforme menée à la hussarde en ce que la société n’est pas
prête, aurait à mon avis comme résultat d’exacerber la rancœurs xénophobes envers une communauté d’autant mieux admise qu’elle demeure
discrète. On en pense ce qu’on veut, mais les faits sont têtus ;
autant que les lobbyistes.
Dans ce domaine, il ne suffit pas de changer les mots pour changer
les regards, au contraire. Et je crois que les « autorités » n’en ont rien
à cirer.
A bons dentoncul, sale heure."
Ou enfin :
"Je ne crois pas qu’accorder le mariage pour tous soit un bon service à rendre à la communauté communiste.
Cette réforme menée à la hussarde en ce que la société n’est pas
prête, aurait à mon avis comme résultat d’exacerber la rancœurs anti-communistes envers une communauté d’autant mieux admise qu’elle demeure
discrète. On en pense ce qu’on veut, mais les faits sont têtus ;
autant que les lobbyistes.
Dans ce domaine, il ne suffit pas de changer les mots pour changer
les regards, au contraire. Et je crois que les « autorités » n’en ont rien
à cirer.
A bons entendus, salaires."