Sans me lancer dans une analyse sémantique ou historique, il y a d’autres « manières » de rentrer dans l’histoire. Pour rejoindre le commentaire précedent, le « fair-play » sur le terrain n’ai pas nécessairement « vécu » à l’identique dans les tribunes. Il est deux sortes de spectateurs dans le rugby : le connaisseur (fanatique ou pas) du jeu et l’amateur de spectacle. M.Guazzini oeuvre à offrir à ce sport un public émerveillé. Mais la culture rugbytique est une démarche volontaire, pas une histoire de spectacle. Demain, si les milles feux ne brillent plus assez, n’émerveillent plus, que fera ce nouveau public attiré comme les lucioles ???
Comment exprimera-t-il son insatisfaction ? il ne lui sera plus possible de se rabattre sur ce qu’il aime (le jeu), seul ce qui lui manque (le spectacle)nourrira sa définition du fair-play.... Comme le propose depuis trop longtemps le foot.
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