Par notre système de gouvernement, et économique nous sommes déjà au moyen-âge.
La féodalité c’est un suzerain qui possède une terre, et pour qui des serfs travaillent.
Le capitalisme c’est un patron qui possède une entreprise, et pour qui des salariés travaillent.
Lorsqu’il y avait ce contre-pouvoir qui était l’état pour dicter sa loi aux entreprises ça pouvait fonctionner. Mais la globalisation fait qu’une entreprise est au-dessus des états, et de ses lois.
Une des solutions c’est donc le partage de la propriété entre tous les acteurs de l’entreprise. Pas juste de quelques personnes à son sommet. L’abolition de la hiérarchie verticale pour une hiérarchie horizontale.
Ce n’est pas du communisme, pas du socialisme, juste du bon sens. Sans compter que dire j’ai une voiture, un four à micro-onde, donc le capitalisme est une réussite. Je sais pas, ça me dérange...
L’Etat féodal : le retour de l’Histoire
Dans les grandes lignes, le régime féodal se caractérisait, dans sa
phase finale, par une représentation par collèges destinée à assurer la
prépondérance de certaines classes de la Société, ultra minoritaires,
pour la préservation de leurs avantages et privilèges. Ces Assemblées
étaient elles-mêmes bridées par le pouvoir royal, de Droit divin. Un
cortège de privilèges, d’exemptions, de charges à fort rendement, de
prébendes, distribuées selon la bonne grâce du souverain, lui permettait
de se constituer une cohorte de courtisans et d’obligés, dévoués à sa
cause. Les heureux bénéficiaires jouissaient souvent d’une grande
autonomie dans l’usage de leurs droits privilégiés, générant des abus. (lire la suite en cliquant sur le lien)