Le cinéma est « ultra subventionné » par le contribuable. Qu’importe le résultat financier du film, le réalisateur pourra toujours continuer à dilapider l’argent du contribuable.
Elie Chouraqui par exemple fait « navet » sur « navet », mais qu’importe ça continue.
L’auteur qui vit sur un marché « subventionné » vient nous donner des leçons de libéralisme !
Si comme le dit l’auteur, son marché était sur un marché libre, le résultat financier en salle forcerait le réalisateur à plus de rigueur et prendre un scénariste qui propose des scénarios qui amènent des clients en salles.
Bien au contraire, le texte de l’auteur montre que, comme le cinéma n’est pas un « marché libre », la qualité des scénarios n’a pas d’importance.
L’auteur de ce texte n’intellectualise pas que le scénario est payé par de l’argent public.
Un réalisateur qui veut faire des entrées s’achète le meilleur scénariste, comme le club de foot qui veut de l’affluence dans son stade s’achète les meilleurs joueurs.
Un réalisateur Francais a comme but de recevoir des « subventions », pas de faire des entrées. Le scénariste il s’en tape. C’est loin de la libre concurrence.