Wa aloukoum salam !
What-wesh ? Si’Jojo est burnous-less ? Ana (and myself) flabbergasted ! Well, c’est
à la limite de la kafiritude ne dit-on pas dans vos barbharissaesques contrées "la
burnous, wala hummous ?« à moins que ce ne soit »la burnous, wala
flouss (felouss ?)" ? Même moi, vil shirkokafir
promis à la jahanamique consommation des ghisliniques litchis et autres adhdhariques
kiwis du terrible zaqqum, suis l’heureux propriétaire d’un burnous (tailor-made
par un Fassi d’ascendance morisco-qurtubi !) : SHAME ALIK YOU Si’Jojo !!!
Sinon sur votre point number tani, je dois considérer que c’est un peu la
fitna au masjid : sinon, la température est-elle encore tolérable dehors ?
Enfin, ne pensez pas que votre asharique diversion marchera, pas plus que
si vous n’aviez tenté une wahdatalwujudique contorsion : et pourquoi pas essayer
de me bektashiser tant que vous y êtes : non mais ! La, la, la Si’Jojo : vous
alévi pas vous en tirez comme cela !
Nefzaoui ou pas, mon propos n’était pas là : j’aurai pu par exemple évoquer
le chaab-lore (pop culture en arabarbaresque) comme par exemple les « Alflalawalala »
(qui ont corrompu des générations et générations de bédouins&Co) et vous
posez la question de savoir quel acteur ou quelle actrice accepterait de ne
tourner ne serait-ce qu’une version fidèle de l’intro des Alflalalawa (la version V.O pas Aladdin
version McDisney ou Ali Baba avec Fernandel) honnêtement qui à part des acteurs/actrices
X pourraient le faire ?
Première scène (porno-gore) avec le frangin de Sharyar qui passe au
cimeterre sa « bitch » en compagnie de la version médiévale de
Lexington Steel, suivi de Sharyar qui découvre sa femme et son harem en train
d’orgiser dans le jardin du palais (tout y est teen, MILF, BBC, 69, gangbang,
swinging, lesbo, etc…), suivi de Sharyar et son frangin qui effrayés se barrent
en courant et tombe sur une adepte de la djinnophilie et de la DP, avant que
Sharyar décide de retourner au palais et de punir toutes ces
« bitches » ! Et du côté de la belle Scheherazade, un bon nombre de
« contes » seraient classés X aujourd’hui (et au final, s’avèrent
encore plus inventifs que la porn industry contemporaine).
Par là, ce que je veux dire est que la situation actuelle n’est pas si
différente à ce niveau-là : et que la source de la violence sexuelle et/ou de
l’hypersexualisation (précoce) est plus à mettre sur le compte d’un modèle
fonctionnant selon une logique de consommation-prédation-domination, qui
objectifie l’ensemble des individus (femmes et hommes).
Sinon, petit cachotier, n’avez-vous pas enfant fréquenté le hammam en
compagnie de votre Maman ??? Hmmm…ANA WATCHIN’ U !