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Commentaire de Christian Labrune

sur Un statut d'Etat reconnu pour la Palestine à l'ONU : pour la paix ou la guerre ?


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Christian Labrune Christian Labrune 3 décembre 2012 19:54

@Lord Franz

Je lis dans votre réponse : « « vous ne connaissez rien à ces pays, ne connaissez rien du quotidien de ces peuples, ne connaissez rien à la guerre : RIEN et vous venez ici me donner des leçons ! Désolé : je suis libre de critiquer quiconque et quoi que soit comme je l’entends et n’ai certainement aucune leçon de morale à recevoir de votre part ! »

Vous écrivez encore ceci : 

« Sur ce, je n’ai aucun problème à discuter avec vous : mais désormais, je considérerai que toute discussion sur ce sujet avec vous ne pouvant mener strictement à rien : si ce n’est à vous essayant de me convaincre de rallier « votre » cause. »

Je dois vous remercier pour ces deux phrases, puisqu’elles correspondent très bien à ce que je pourrais vous répondre aussi et que vous m’évitez d’avoir à les inventer.

J’ajouterai seulement que j’ai horreur de la grandiloquence ; j’ai enseigné les lettres pendant près de quarante ans, je sais ce que c’est que la grandiloquence et vous ne trouverez rien qui ressemble à ça dans ce que j’ai pu vous dire, et pas même la moindre formule emphatique/ironique du style « Mon cher lord Franz ». Je ne vous avais pas encore écrit non plus, du haut d’une très haute idée que je me ferais de mes propres conceptions, que vous ne connaissez RIEN à ces peuples et à la guerre, etc. ; je viens de le faire plus haut en vous recopiant, et je n’en suis dès lors qu’à demi responsable.

Je ne vous ai accusé nulle part non plus d’être antisémite ou nostalgique de l’ordre hitlérien : je ne discute jamais bien longuement avec ces sortes d’intervenants, qui sont légion sur AgoraVox ; je doute en tout cas que vous parliez bien sérieusement et je mets cela sur le compte d’une susceptibilité purement rhétorique et de bonne guerre, au fond, dans ces sortes de débats. Je vois bien que vous seriez comme moi désireux de voir la situation se pacifier au mieux des intérêts des deux parties, mais je suis plus proche des thèses de l’article que nous commentions que de celles que vous développez, voilà tout.

Bien cordialement.

C. L.


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