L’auteur a tenté de faire entendre une autre voix, mais ça ne passe pas auprès de certains qui n’ont que leur parti pris pour unique mode de pensée. Israël n’est pas épargné ici mais cet Etat, bien que mélangeant identité politique et religieuse qui n’en est pas moins un Etat de droit, ne pourrait pas jouer la carte de la religion comme il le fait sans le terrorisme islamique du Hamas et l’argument du danger bien réel que constitue aujourd’hui la menace islamique qui s’objective avec le « printemps », pardon, « l’hiver arabe ». Une réflexion que ne veulent absolument pas aborder les critiques de cet article qui ne voient qu’à travers leur bonne conscience de défendre une grande cause qui est un médicament à leur mal-être de bobos, de cocus du communisme, ou encore que par leur soutien avéré à l’islamisme qui n’est rien d’autre que le recyclage du fascisme. Ceux qui justifient le terrorisme sont des alliés de la fin des libertés là-bas comme ici, à commencer par les dogmatiques du feu communisme à l’Est ou du trotskysme et autre islamo-gauchistes qui n’ont jamais rien compris à l’inaliénabilité des libertés et droits individuels indivisible de la démocratie. C’est même ça qui a fait de l’expérience du socialisme réel la catastrophe pour les libertés que l’on connait qui en a amené le rejet massif et l’effondrement. Mais ceux-là à travers la question palestinienne montrent qu’ils ont toujours bien des trains de retard sur l’histoire et des schémas de pensée archaïques en lieu et place d’un libre-arbitre.