@nisco
« ...C’est bien là le drame, il ne s’agit que du solution à très court terme, alors que la solution à long terme réside dans la diminution des facteurs initiaux de stress. »
Facteur initial qui est, entre autre, la cigarette comme vous l’avez reconnu il me semble ?
« Le fumeurs ne sont pas des gens différents des autres, mais leur stress est plus »palpable« que celui des non fumeurs. L’envie de fumer n’est autre qu’un symptôme ou une marque de leur stress. »
L’envie de fumer débute souvent par une connerie de jeunesse (pour faire comme « les grands » ou pour braver l’interdit), beaucoup de fumeurs dans mon entourage le disent et me conseillent de ne JAMAIS commencer pour ne pas mettre le doigt dans l’engrenage.
Une fois qu’on commence à fumer, on en devient dépendant, et sans cigarette, on est en manque, on est stressé.
Même en période de stress, je n’ai AUCUNE envie de fumer ou de prendre une quelconque drogue.
« Je ne revnedique pas ça, mais je propose des alternatives. On peut par exemple edicter la règle, en parallèle aux droits de l’homme, »le bonheur de soi ne doit pas limiter le bonheur des autres« . »
Etrange : Etes vous d’accord pour dire « le bonheur des fumeurs ne doit pas limiter le bonheur des non fumeurs » ?
Vous allez me répondre « oui » sans doute.
Pourtant, je peux vous assurer que d’innombrables fumeurs m’ont empoisonné la vie au sens propre comme au sens figuré : drames familiales, gêne dans les lieux de travail, dans les rues, irritations de la gorge et maux de tête après une soirée dans un restau enfumé.
Vous allez me dire « fallait pas y aller » ?
Certes, je vais effectivement rarement au restaurant à cause des fumeurs, je cède sous la loi du plus fort en somme : ils me gênent donc je m’en vais. Elle est belle la liberté de fumer ! Laissons faire et espérons, prions pour que les gens deviennent plus respectueux un jour !