Les salariés du service public,des
multinationales, des banques et des entreprises privées sont
confrontés aux même problèmes qui viennent de leur direction ou
des fonds d’investissements qui exigent plus de rendements et plus de
résultats avec une diminution des moyens pour y parvenir. Les
problèmes de stress, de santé et les suicides font partie de cette
dégradation sociale qui finit par changer les mentalités, et va
rendre les relations sociales plus dures et plus méchantes.
Les restrictions des budgets qui sont
devenus la norme accepter par les divers services publics et privés
en contradiction avec la hausse des profits pour les actionnaires et
leurs dividendes, les propriétaires de grandes entreprises et les
hyper-riches.
Ses baisses de bugdets ont pour
conséquence de rendre le climat social plus tendu, et dans le même
temps d’exiger une hausse régulière des rendements et une hausse
des résultats qui ne seront de toute façon pas redistribuer. Par le
biais de la précarisation des contrats de travail ont peu facilement
mettre la pression sur les salariés et délocaliser l’entreprise
même si les bénéfices sont importants. Ce qui permets de poser de
plus en plus d’exigences sur la masse salariale, qui de toute façon
n’aura aucun contre-pouvoir pour tenter de sauvegarder leurs
situations de vie en entreprise.
Les restrictions qui ont pour but une
hausse des résultats et des rendements, ne sont pas accompagnés
d’une augmentation des salaires, ce qui devrait se passer à la suite
de meilleurs résultats. Au contraire, les salaires publics comme
privés sont gelés, et sont même baisser comme ce fût le cas dans
de nombreux pays ou entreprises. Il y a moins de salariés par
service, moins d’heures de travail que les salariés essayent de
combler par des heures supplémentaires qui ne seront pas payés,
ceci avec obligation de rendements/résultats sous peine de subir des
pressions permanentes ou de faire du chantage pour délocaliser
l’entreprise, qui de toute façon peut se voir confronter à une
administration ou un conseil d’administration cupide pour ensuite
fermer malgré les résultats exigés ou de bons résultats pour
permettre de continuer l’activité.
Celà continue avec une baisse des
droits sociaux pour des couvertures diverses, c’est la sécurité et
la qualité de l’emploi qui sont remis en cause, alors que les
profits vont vers les riches qui profitent de la masse salariale.