L’accident et la mutilation sont équivalents à une maladie. Il s’agit de causes imprevues qui viennent empecher la fertilité naturelle.
La separation mérite un debat a elle toute seule. Le mariage implique legalement la vie commune. La separation prolongee n’est donc pas normale et la soiete doit l’eviter, y compris les employeurs et l’armée. Il y a un droit opposable de oar la situation d’epoux.
Renvoyer les question de l’homopatentalité a un debat ulterieur est une manoeuvre indique et illégitime. Le code civil consacre les 2/3 des articles relatifs au mariage à l’education, la protection et la preparation de l’avenir des enfants.
Le droit lie intimement la situation des epoux et la parentalité. Le debat ne peut donc pas etre renvoyé a plus tard, car il n’y aurait plus aucun sens de debattre sur le question une fois le mariage homo acté. L’homoparentalité aurait force de droit.
Je pense que vous caricaturez la pensée de Pisavar quand vous le traitez d’obsédé à propos de la fertilité.
le mot est impropre, il s’agit de la viviparité. Nous sommes une espece vivipare et mammifère. Il n’y a aucune pudeur a avoir vis a vis de cet aspect du mariage qui instaure ce principe incontestable de la reproduction humaine dans une institution.
L’homosexualité ne génère aucune variante ’’magique’’ a cette loi naturelle. Il n’existe aucune reproduction humaine par parthenogenèse ni par hermaphrodisme.
Donc les homosexuels sont, comme les autres, soumis à cet etat de fait.
Sauf a autoriser le clonage humain, chaque bébé née d’un père biologique et d’une mère biologique.
Il arrive que l’un ou meme les deux de ces parents ne puissent remplir ce rôle.
Et dans ce cas, et seulement dans ce cas il est legitime de lui substituer un parent adoptif (oui je sait c’est le bébé qui est pretendument adopté mais en realité c’est le parent qui est adoptif, l’enfant est, c’est tout.)
Je ne parles pas ici des dons de sperme ou d’ovules car il s’agit de pallier a infertilité et j’ai deja expliqué que les homos ne sont pas infertiles mais infeconds. La medecine n’est pas un recours legitime contre l’infecondité homo.
Revenons a nos parents adoptifs.
Il s’agit donc ici de se substituer au parent mort, parti, defaillant... La societe accepte jusqu’ici qu’on substitue un homme au père et une femme à la mère.
L’adoption homo consiste a remplacer le parent manquant par une personne de l’autre sexe.
Je pense que l’on porte atteinte aux droit de l’enfant en s’autorisant un tel tour de passe passe.
Chaque enfant a droit a ce que ce soit un homme qui tienne le rôle que son père biologique n’est pas en mesure de tenir et inversement une femme en lieu et place de sa mère biologique.
Je sais bien que les tenants de la theorie du genre veulent nous faire croire qu’un homme et une femme c’est la meme chose mais ce sont des foutaises que les scientifiques serieux ont largement invalidé.
Le reste, c’est donner la priorité aux névroses des couples homos face a leur infecondité. Or un enfant n’est pas un anxiolytique destiné à pallier aux consequences des choix de ie de gens incapables d’assumer leur mode de vie.