Le géophysicien français, André Rousseau
(docteur en géophysique et en géologie, et ancien chercheur au CNRS) a
montré que les analyses sismiques enregistrées le 11 septembre
prouvaient que les trois tours du WTC s’étaient bien effondrées suite à
des explosions. C’est ce que vous montrez.
Je place ci-dessous un autre lien qui critique la méthode du NIST. Bien que je n’aime pas trop argumenter sur le refrain du scientifique de renom, le témoignage de Lynn Margulis
me semble exemplaire. Il place l’argumentation sur l’aspect
épistémologique de l’analyse scientifique effectuée après la disparition
rapide des preuves. Comme au Pentagone et pour le vol 93 les autorités
américaines ont très rapidement fait disparaître tous les éléments
nécessaires à l’enquête. Comme pour la mort de Bin Laden, pas de corps,
pas d’expertise, pas de preuve.
Mais en l’occurrence pour les tours du WTC, il est inutile de faire
appel à la vitesse de la chute des corps. Le bon sens suffit pour
comprendre que les dizaines de poutrelles d’acier constituant ces
édifices ont nécessairement été détruites à la base, au même instant et
au même niveau pour expliquer leur chute strictement verticale.
J’ai été très surpris à la lecture de l’article du vendredi 7 septembre de Coalis
11/9 : « Retour sur le premier débat scientifique français ». En effet
les protagonistes du débat considèrent que 600 °C est une température
suffisante pour fragiliser des poutrelles d’acier destinées à la
construction. Pour s’en convaincre il suffit d’appuyer une cigarette
allumée dont l’extrémité rouge et à 800° C et de toucher un objet
métallique avec elle. Vous ne constaterez rien concernant les propriétés
du métal. La température nécessaire pour faire fondre cet acier est
environ de 1500 °C.
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