Salut Wesson,
Je vais vous répondre et vous étonner. Du moins si vous n’avez pas été lire ce que j’en ai écrit.
Quand j’ai commencé à écrire en 2005, c’était pour réagir à cet esprit américain qui ne pensait qu’à l’argent comme seule manière de vivre. L’écriture a été pour moi, curative.
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« patron du FMI qu’il fut ... quelle casse pour en arriver là »
Exact. Tout à fait. Un Français prendrait des gants avec une telle personnalité. Les Européens ne pouvaient pas concevoir que les Américains aient pu prendre de telles mesures avec menottes aux poings. Un an et demi pour voir une fin à cette affaire.
Un Américain, c’est la pragmatisme qui prévaut. Rappelez-vous Al Capone, ce n’est pas à cause de ses crimes qu’il est passé en taule.
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QJ. Simpson, et aussi l’affaire familiale de Marlon Brando.
« Et sur Miami, Beverley Hills etc, vous ne parlez que de l’image que l’Amérique veut montrer au monde entier »
Encore une fois, d’accord. Beverly Hills c’est comme Saint-Jean-Cap-Ferrat, si vous connaissez. Vous pourrez aussi vous promener à Monte Carlo avec tous les bijoux du monde, vous ne risquez rien. Les cameras et les policiers sont là pour cela.
Notre Justine Henin savait très bien où aller à une certaine époque.
Je l’ai écrit, Etats-Unis, peut-être mais des différences, des disparités d’opinions et de moyens colossaux que nous commençons à découvrir en Europe avec horreur.
La culture américaine de la liberté, les amendements de la Constitution, fait opposition à cette découverte.
Nous sommes dans des mondes qui ne se cotoient pas, à des années lumières l’un de l’autre.
Que va pouvoir faire Obama avec le problème récent du drame dans l’école ?
Là, cela m’intéresse beaucoup plus que l’affaire symbolique de Depardieu qui pour nous est plutôt un « sein brol ». Si vous voyez ce que cela veut dire.