A force d’étudier les vaccins, j’ai fini par renoncer à les faire. Au cours de mes études, ce sujet était tellement religieux qu’on n’éprouvait même pas le besoin de nous l’enseigner. On vaccine, un point c’est tout, et on ne discute pas.
C’est Mme Bachelot qui, avec son insistance bizarre à nous faire la promo d’un vaccin contre une grippe qui n’avait pas montré de dangerosité particulière dans l’hémisphère Sud, m’a fait me poser des questions. Et quand on cherche sur ce sujet, on trouve beaucoup de questions et beaucoup de réponses.
J’ai appris ainsi que les enfants vaccinés étaient beaucoup plus malades que ceux qui y avaient échappé. Les affections allergiques, l’asthme, l’herpès, et même la scoliose étaient beaucoup plus fréquents chez les premiers. Bien d’autres maladies aussi.
Ceci pour leurs effets délétères.
Par contre leurs avantages étaient beaucoup moins évidents que ce qu’on m’en avait dit.
En ce qui concerne le DTPolio, puisque c’est le sujet, son caractère obligatoire (nous sommes le seul pays en Europe) est incompatible avec la non disponibilité du produit depuis des années : une façon comme une autre de nous obliger à vacciner avec au minimum une valence supplémentaire, la coqueluche, une source d’accidents considérable, tout en se dégageant de la responsabilité étatique, puisque ce vaccin n’est pas obligatoire. En fait de DTPolio, il y a bien le Revaxis, moins dosé en toxine diphtérique, mais qui n’est pas indiqué avant 6 ans.
Alors, si on veut vraiment vacciner pour répondre à l’obligation légale, c’est le parcours du combattant : il faut faire un DTVax, et commander dix doses de vaccin polio dont on va en jeter 9, et recommencer ce cirque un et deux mois plus tard.
Quand aux établissements scolaires (mais aussi l’armée, le corps médical, la police), les responsables n’hésitent pas à réclamer des vaccinations non obligatoires : BCG, hépatite, rougeole-oreillons-rubéole, faute de quoi on n’entre ni dans la crèche ni dans le système.
Or il est stipulé dans les textes que quiconque oblige une personne çà une vaccination non obligatoire est passible de prison et d’une énorme amende.
Ca ne doit pas être appliqué tous les jours...
Il y a aussi ce système qui consiste à culpabiliser les mamans qui résistent à l’obligation vaccinale parce qu’elles se sont informées : vous allez tuer votre enfant, vous aurez des remords toute votre vie, etc...C’est un truc qui marche très bien.
Or, quand on vaccine à 2, 3 et 4 mois, comme c’est recommandé, on obtient 13% d’asthmatiques à 7 ans. Si on recule de seulement deux ou trois mois, ce taux tombe à 7%. Et si on attend 1 an, il chute à moins de 1% : autrement dit, 92% des asthmes de l’enfant sont dus aux vaccins précoces. C’est alors que les mamans devraient se sentir coupables : parce que ces faits sont largement documentés.
J’arrête là, j’en aurais pour des heures à vous expliquer. Mais sachez que de nombreux médecins sont sortis de ce système, au risque de leur diplôme, et que les autres sont soit vénaux, soit ignorants.
Les vaccins tels qu’ils sont pratiqués ne sont plus défendables. Encore un peu de temps et cette vérité triomphera : cette année, moins de 20% de la population s’est vaccinée contre la grippe : ce qui prouve que les populations s’informent, et ne croient plus la propagande.
C’est positif.
Le problème des vaccins est que leurs effets secondaires sont tellement décalés dans le temps parfois (quand ils ne causent pas la mort subite du nourrisson) qu’il est presque impossible de relier les deux faits : c’est ainsi que les labos échappent à leur responsabilité et que la vraie cause des problèmes reste cachée. ceci dit, il commence à y avoir des procès gagnés dans ce sens, et c’est encore un point positif.
Nous allons sortir de l’obscurantisme moyen-âgeux, cesser de pousser sous la peau des bébés ces soupes purulentes pleines de produits toxiques et à l’intérêt douteux, mais il aura fallu beaucoup de temps et beaucoup de souffrances. Beaucoup trop.