Commentaire de Laurenzola
sur L'affaire DSK : Quand le goût de l'argent est le dégoût de la justice
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Dans cette affaire, il ne faut pas oublier les conversation de Diallo au téléphone, pièce importante qui a permit aux juges de ne pas poursuivre DSK au pénal.
Je suis surpris que l’auteur nous fasse toute une tartine sur cette affaire, comme si la fin de l’histoire n’était pas courue d’avance, à l’image des films made in US.
DSK, rempli de lui-même, à trouvé au contraire son véritable bourreau, il aura pêché par l’argent et par le sexe, il se retrouve sur la paille, les couilles à l’air.
Sur les 6 millions de dollars, il va en remprunter 3 à son ex-compagne, les 3 autres, il fera un prêt bancaire, pour se racheter une réputation qu’il ne retrouvera jamais.
C’est plutôt cher payé, non ?
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