Ce titre est absolument « dégelasse » de mépris et de haine contre une personne ad homminem.
Les animaux sont vous les bobos ! Des espèces de juges moraux anti-liberté individuelle.
Les propos de Torreton sont une confirmation du fait que Depardieu a bien fait.
Dans le texte de Torreton, il dit que son métier, c’est faire de ce pays un territoire où l’on peut encore, malgré la crise, (...) faire des films et monter des spectacles grâce à des subventions obtenues en prélevant l’impôt.
Quelle arrogance bobo ! Philippe Torreton est le spécialiste de l’usage personnel de l’argent public, c’est-à-dire de notre argent, et ce depuis toujours, voici sa carrière :
Il a étudié au Conservatoire national supérieur d’art dramatique, une école nationale subventionnée par le ministère français de la Culture.
Il est devenu pensionnaire puis sociétaire de la Comédie Française.
Il a été l’un des pires élus absentéistes (socialistes) de la Ville de Paris.
Un ultra subventionné profiteur !
Qu’a fait Philippe Torreton, concrètement pour le bon usage de l’argent public et la démocratie locale quand il était en capacité de le faire, en tant qu’élu au conseil de Paris ? Réponse
: rien.
Il s’est contenté de toucher pendant des années ses 4 186,37 € bruts par mois. Avec Lagarde et Lellouche,
Philippe Torreton a été le pire élu en terme d’absentéisme au conseil de Paris (source :
Le Monde,
Daily Neuvième,
Les Échos,
Ménilmontant). Un bien bel exemple bobo à citer !
Trouver que sa cote part d’impôt de 85% de ses revenus, alors qu’on a créé 80 emplois, utilisé son argent gagné loyalement, pour le donner en une redistribution a des profiteurs comme Toreton qui ont encaissé et dilapidé son argent....Depardieu se tire. Bravo !
Lamentable mentalité de profiteur du système qui veut faire payer ses privilèges par ceux qui entreprennent.
« On va se démerder sans toi », écrit Philippe Torreton à Gérard Depardieu !
Mais si seulement c’était vrai ! Hélas, cette phrase est fausse. Philippe Torreton va continuer à se débrouiller pour racketter les contribuables, et faire passer son intérêt personnel pour de l’intérêt général, comme l’auteur de cet article qui veut bien que l’autre fasse un effort sans jamais remettre en cause son régime spécial de retraite ou ses indemnités exagérées de prof.
Jamais il ne viendrait à l’idée de Philippe Torreton que si nous voulons du théâtre ou du cinéma alors nous pourrions tout simplement aller acheter une place, plutôt que d’attendre des subventions.
