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Commentaire de Traroth

sur Comme Le Pen, Cahuzac et le PS refusent le débat avec Mélenchon


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Traroth Traroth 20 décembre 2012 17:32

« Je commence en effet à me poser des questions moi aussi (cf. le semi-départ de Dolez) sur la pertinence à taper en permanence sur les socialistes même si il est vrai que la « quenelle de 175 » qu’ils nous ont mis (comme dirait Dieudo) a du mal à passer » :


Le PS est au pouvoir. Si on ne critique pas son action quand c’est nécessaire (c’est à dire presque tout le temps, dans la pratique), c’est qu’on est complice. Le « dialogue » n’est qu’une forme d’acceptation. Il faut bien comprendre qu’avec la majorité que le PS a obtenu à l’assemblée, ils n’ont besoin de personne. Il n’y a pas de dialogue possible. Regardez les Verts ou Montebourg : ils sont inaudibles et marginalisés, tenus par la « solidarité gouvernementale » (solidarité contre le peuple, si je comprends bien), et finalement, complices, compromis, sans réussir à rien changer. Mélenchon et le front de gauche au moins conservent son indépendance et leur liberté de parole et au final sont au moins en mesure d’exprimer leur désapprobation. Sans Mélenchon, on pourrait imaginer que toute la gauche approuve le comportement de Hollande, à part des groupuscules type NPA ou LO, vous imaginez !

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