Alinea,
il n’y a pas de « comme », ça n’éclaire pas ;
un « retard à l’allumage » ça s’appelle du sommeil,
une « lenteur » aussi -
abrutissement de même,
idem pour « abattement », « convalescence »,
voire même ce délai du « temps avant d’agir » ;
bref, le tableau clinique est complet, le diagnostic est bouclé.
Quant à « une gauche qui n’est en rien révolutionnaire », c’est l’oxymoron de la grande illusion, et ce genre de contradiction n’est tenable qu’à poser cette outrage avoué de ce que vous appelez un « socialisme de bon sens » -
mais tout est lié : c’est seulement la pathologie hypnotique avérée détaillée précédemment qui permet ce genre d’anesthésie idéologique.
Non « il ne s’agit pas de virer un malfrat du pouvoir », comme vous dites, parce que nul n’aurait justement le pouvoir de provoquer pareille épidémie caractérisée.
Ce pouvoir est donc ailleurs, et le malfrat est autre, toute une mafia.
Et le malfrat n’est pas viré, avec quoi deale-t-on sinon une sorte de « Sarco 0% fat » du « nicolight » ?
Le problème est donc ailleurs :
Ne pas confondre entre le symptôme qui révèle ou témoigne ou signale, et l’origine qui est entre vos mains en ce moment même :
Votre télé... commande.
Et tant que la Chose est en cours, vous ne pourrez pas nous leurrer, ni vous ni moi, sur le manque d’habitude, le « neuf » ou encore le « rien ne nous empêchera »...
Le discours de méluche que vous citez s’achève bien sur les mots « notre gauche » ?
Il a donc changé de position, avant-propos de guerre ouverte ça s’appelle, déferlante pour bientôt, son objectif est autre, il a senti le vent tourner, les merdias vont donc mettre la gomme - mais une toute autre géographie est désormais en cours. Nous aviserons.
Seulement s’il a pris cette décision, si et seulement si... - la décision est grave, et lourde de conséquences - c’est pas que le flan qui va flancher... (cf. diagnostic supra).