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Commentaire de Bedibabavoël

sur L'arnaque de la misère


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Bedibabavoël Bedibabavoël 29 décembre 2012 04:40

Amalgame bizarre et réducteur, idées totalement dépouillé de bon sens.
J’ai l’impression, que les sdf et les sans papiers, sont les mêmes que les allocataires de la caf, ce qui n’est quand même pas la même chose.
L’auteur confond la misère noire, d’avec la solidarité, et une conclusion poussive, sur la faute de la robotisation de l’industrie, et l’esclavagisme monétaire, comme si plus personne ne travaillait par goût, envie, ou opportunité professionnel. Partant de là, c’est sûr : les pauvres n’ont que ce qu’ils méritent, youpi, merci les aides sociales. Parce que sinon, il est mieux de mettre tout le monde à la rue ? Si vous voulez une guerre civile à la bonne heure.

Vraiment je ne comprend rien à l’article.
Il est où le lien entre l’industrie robotisé et la misère ? Les villes ne pourvois plus autant de travail qu’avant, et retourner vivre comme il y a deux génération à la campagne comme un paysan, et faire machine arrière n’est pas chose aisé. A quoi bon vouloir faire pousser des poireaux, quand l’industrie y pourvois aisément tout en créant des emplois...
Quitte à parler de la misère, vous n’avez pas un échantillon ?

Pourquoi tordre le coup à ses associations ? Vengeance personnel ? Le aides alimentaires c’est pas la part du prince, et quand on y vas, il n’y à vraiment pas de quoi se venter. De quelle opulence parlez vous ? S’octroyer gratuitement des produits limite périmés, et manger des conserves, vous appelez cela de l’opulence ? Y trouver des vêtements usé par le mauvais goût. De la à demander de l’argent à un pauvre il n’y a qu’un pas. D’autant que la vérité, c’est qu’il y a moins de dons, et plus de pauvres.

En passant, je préfère remercier tous les bénévoles, qui sans leurs actions concrètes au quotidiens, noircirais le tableau de la misère française dans le monde plus que de nécessaire. Heureusement qu’ils sont là eux, plus encore que vous. Ce n’est pas idéal, mais c’est toujours mieux que rien.


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