Ce à quoi je vous réponds :
"Le problème étant que désormais le sens critique de la population est
clairement altéré par une presse de propagande aussi libérale
qu’européïste. Une brève analyse de notre société permet néanmoins de
déceler ce que pensent réellement les français, malgré la censure et les
logorrhées de ces incapables de Alain Mink et Jacques Attali qui
seraient censés représenter les vues économiques partagées par “la
France d’en bas”.
nous avons un tiers de la population active qui est eurosceptique avec une connaissance plus puissante des traités et de la création monétaire par les plus jeunes.
Ca c’est factuel et ça n’a effectivement pas besoin de sondages. Il y’a une étude que je n’ai pas relaté puisque c’est une étude de marché que je mène pour sortir un produit capable de donner une claque au symbole monétaire qu’est l’euro. Cette étude visait directement une population eurosceptique à travers les réseaux sociaux et a recueilli plus de 500 formulaires remplis.
83 % des eurosceptiques qui ont répondu à l’étude ont entre 16 et 35 ans.
J’aurai pu me contenter de délivrer une opinion à partir de mon simple constat sur l’euroscepticisme en France. Par exemple, je n’ai pas précisé que dans les couches sociales, outres les ouvriers, ce sont les commerçants les plus eurosceptiques. Suffit de discuter avec eux . Mais c’est corroboré par tout ce que j’ai pu lire à ce sujet.
Le droit de battre monnaie est complètement lié à la Démocratie. Mais quand les Français ne comprennent pas les mécanismes de la création monétaire, il est presque incroyable qu’intuitivement, près d’un tiers d’entre eux rejettent l’euro.
La propagande marche de moins en moins.
Enfin, vous avez partiellement raison, le prix du blé et des produits finis n’est pas corrélé à la valeur de l’euro. En revanche, on peut parler de cette europe qui dérégule le marché des matières premières.