subliminette,
Depuis toujours je vis avec moins que le minimum social.
Je n’ai jamais travaillé de toute ma vie (deux mois en tout et pour tout pour être honnête) et je n’ai jamais eu faim. Jamais. Mais il est vrai que je n’ai jamais eu de désir supeflu, sauf lorsque j’en ai eu les moyens.
Je n’ai pas de téléphone portable (objet futile) mais un fantastique ordinateur qui, connecté à INTERNET, me permet de voyager, de m’instruire, de communiquer, déélargir mes cercles amicaux, de faire de nouvelles connaissances et mille autre choses merveilleuses et révolutionnaires, et tout ça pour un euro par jour.
Sincèrement, j’ai beau essayer de me mettre à la place de ces prétendus pauvres, je ne parviens pas à les comprendre. Je n’ai aucun diplôme, aucune formation, juste le niveau troisième et pourtant je n’ai jamais eu le sentiment de manquer de quoi que ce soit dans ma vie. Sans avoir jamais travaillé et en demeurant honnête.
Que se passe-t-il . C’ets simple, je vis e France, pays de justice sociale et d’opulence. Ler problème ; c’est que ceux qui se considèrent cmme des pauvres ont des désirs plus vastes que leurs finances. Résultats, ils se retrouvent endettés, insatisfaits, avec ce sentiment d’être exclus persécutés. Leur sort n’est que le fruit de leur état d’esprit et de leur comportement.
Un seul exemple, celui du tabagisme. Aujoud’hui fumer est devenu un luxe, ce qui n’était pas le cas il y a 30 ans. La plupart de ces « pauvres » ont encore les moyens de financer leur vice. Le reste n’est que fausses exuses de leur part. A partir de là, j’adopte un discour viril, anti-populiste. Se prétendre « pauvre » quand on claque 160 euros mensuels dans des cigarettes, il ne faut pas se moquer du monde ! Il y a des limites à l’indécence.
Raphaël Zacharie de IZARRA