ce papier est très complet même si wikipédieux à l’excès.
Les Mains de Marie-Jeanne,
Mains sombres que l’été tanna,
Ce sont des ployeuses d’échines,
Des mains qui ne font jamais mal,
Plus fatales que des machines,
Plus fortes que tout un cheval !
Voici le temps des assassins...
Toutes les monstruosités violent les gestes atroces d’Hortense. Sa solitude est la mécanique érotique, sa lassitude, la dynamique amoureuse. Sous la surveillance d’une enfance elle a été, à des époques nombreuses, l’ardente hygiène des races. Sa porte est ouverte à la misère. Là, la moralité des êtres se décorpore en sa passion ou en son action. – O terrible frisson des amours novices, sur le sol sanglant et par l’hydrogène clarteux ! Trouvez Hortense.
03/04 22:22 - dadascope
J’ai vraiment beaucoup apprécié votre article sur les bienfaits du bouleau, mais là je (...)
02/01 11:11 - migosh
01/01 09:32 - Gilbert Spagnolo dit P@py
Salut Christian, Merci pour ton témoignage ( j’espère que la modération le placera en (...)
01/01 00:54 - Christian Labrune
Je suis un peu consterné de lire un certain nombre de réactions qui me rappellent de bien (...)
31/12 21:59 - Gilbert Spagnolo dit P@py
Comme je l’ai marqué plus haut, j’ai bien aimé la nouvelle sur l’utilisation (...)
31/12 19:20 - migosh
Les chirurgiens j’ en connais au moins deux ;o) ( un ophtalmo et un orthopédiste ) Pour (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération