Un aspect du sujet n’est pas abordé (mais tel n’était pas le but de l’article), qui lui aussi est intéressant : la dimension géopolitique. Je me permets de l’aborder.
L’Afghanistan, suite à la « guerre de libération » euro-anglo-américaine, disons « puissance globaliste » est devenu (devant le Maroc désormais) le premier producteur de haschich (en termes de rendements) et... d’opium/pavot.
Au passage, les « Etudiants en religions » avaient lutté contre l’existence de ces cultures. Ainsi, en 2001, il existait une pénurie d’héroïne en Europe grâce aux Talibans (le Maroc restant le leader incontesté en matière de production de haschich). Point important.
Or donc, on connaît clairement les chemins empruntés par ce trafic vers l’Europe suivant un axe Afghanistan-Turquie-Albanie-Kosovo. Là encore la route de la drogue croise le chemin des « guerriers » impérialistes de l’anglosphère.
Les « libertaires » (anti-impérialistes ?...) apologues de la consommation de cette substance première nommée dans ce commentaire ne font, in fine, qu’encourager, ce trafic directement lié aux guerres de domination impériale... et approuvent le rétablissement d’un narco-régime en Afghanistan.
Drogues atterrissant dans les cours des lycées d’Europe de l’Ouest pour mieux abrutir les gamins de concert avec Canal +, TF1, les jeux video, le rap, la pop-rock en bout de course et la Ligue des champions...
à bon entendeur...
Et puis, quitte à passer pour un réac’, le vin (et les Goldos accessoirement) sont partie de la culture française... et pas les saloperies précédemment désignées.