Bonsoir
Gilbert,
Ne vous en
faites pas pour ces quelques commentaires émanant de ces individus, faux
anglo-saxons névrosés... Ils ne tiendront compte ni de vos arguments, ni des
miens... et si votre article sur un tel sujet est mal « noté »,
soyez-en sûr, c’est que vous êtes sur la bonne voie...
Les mêmes qui votent avec leurs pieds... les mêmes ayant considéré Nicolas
Sarkozy comme un personnage nietzscheo-gaullien alors qu’ils étaient en face
d’un adolescent revanchard surexcité, hyperactif... grande gueule et peu
d’effets... les mêmes ayant vu en Besancenot un véritable opposant au système
alors qu’il n’en était qu’un pur produit (rebelote avec Mélenchon)... et puis
vous connaissez la phrase attribuée à de Gaulle sur Chirac et l’autre encore
sur les Français en général…
Ils
n’entendront jamais rien à la politique comme ils n’entendent rien à ce que
vous leur avancez dans cet article.
Légaliser (dépénaliser ?) la
consommation du cannabis ? Une proposition proprement inepte du fait de
certains « lobbies nordiques »
d’inspiration libérale-protestante...
Bref, vous avez affaire à certains de vos
compatriotes américanisés jusqu’à l’os, consommateurs aliénés (je parle
évidemment de ceux imprégnés de la doxa libérale libertaire, soutiens
conscients ou non de l’administration US profonde, judéo-protestante, fer de
lance de l’empire global décadent et pas du peuple étasunien dans sa
totalité)...
Vous avez affaire à « l’homo
festivus », l’homme de la fin de l’Histoire… le post-humain
cannabinoïdé…hyper-festif mais pourtant triste et chiant comme la pluie...
Pour
reprendre Ph. Murray ; c’est ce post-humain qui « file sur ses rollers à travers un réel dont la
réalité ressemble à du carton-pâte (parc d’abstractions). Il est désinhibé à
mort, il fait la fête, mais il ne rit pas parce qu’il est plus ou moins retombé
en enfance et que le rire suppose un fond d’incertitude dont l’enfant a
horreur. »