• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Jean-Michel Lemonnier

sur Avec une jeunesse de plus en plus cannabique, alors dans quelques décennies bienvenue dans une France de « zombies » et de « junkies »... et en complète déliquescence !!


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Profil supprimé Jean-Michel Lemonnier 30 décembre 2012 23:07

Bonsoir Gilbert,

Ne vous en faites pas pour ces quelques commentaires émanant de ces individus, faux anglo-saxons névrosés... Ils ne tiendront compte ni de vos arguments, ni des miens... et si votre article sur un tel sujet est mal « noté », soyez-en sûr, c’est que vous êtes sur la bonne voie...

Les mêmes qui votent avec leurs pieds... les mêmes ayant considéré Nicolas Sarkozy comme un personnage nietzscheo-gaullien alors qu’ils étaient en face d’un adolescent revanchard surexcité, hyperactif... grande gueule et peu d’effets... les mêmes ayant vu en Besancenot un véritable opposant au système alors qu’il n’en était qu’un pur produit (rebelote avec Mélenchon)... et puis vous connaissez la phrase attribuée à de Gaulle sur Chirac et l’autre encore sur les Français en général…

Ils n’entendront jamais rien à la politique comme ils n’entendent rien à ce que vous leur avancez dans cet article.
Légaliser (dépénaliser  ?) la consommation du cannabis ? Une proposition proprement inepte du fait de certains « lobbies nordiques » d’inspiration libérale-protestante...

 Bref, vous avez affaire à certains de vos compatriotes américanisés jusqu’à l’os, consommateurs aliénés (je parle évidemment de ceux imprégnés de la doxa libérale libertaire, soutiens conscients ou non de l’administration US profonde, judéo-protestante, fer de lance de l’empire global décadent et pas du peuple étasunien dans sa totalité)...

 Vous avez affaire à « l’homo festivus », l’homme de la fin de l’Histoire… le post-humain cannabinoïdé…hyper-festif mais pourtant triste et chiant comme la pluie...

Pour reprendre Ph. Murray ; c’est ce post-humain qui «  file sur ses rollers à travers un réel dont la réalité ressemble à du carton-pâte (parc d’abstractions). Il est désinhibé à mort, il fait la fête, mais il ne rit pas parce qu’il est plus ou moins retombé en enfance et que le rire suppose un fond d’incertitude dont l’enfant a horreur. »


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès