D’abord, un grand coup de chapeau au personnel hospitalier : médecins, infirmières, aides-soignantes ( hommes et femmes ) qui sont au chevet des malades, le jour, la nuit, les jours fériés.
Membres de la fonction publique hospitalière (une des 3 fonctions publiques, avec la fonction publique d’Etat et la fonction publique territoriale), nombre d’entre eux se dévouent bien au-delà de leur grade et de leur paie.
Ils apportent ou du moins essaient, un peu d’humanité dans un monde de brutes où la Loi de la jungle , du plus fort, du plus riche, emporte tout.
Ces fonctionnaires savent qu’ils n’auront droit, du fait de leur statut, pour toute récompense, qu’au mépris et aux crachats de tous les chiens de garde médiatiques qui n’ont d’yeux que pour les accumulateurs de fric et déserteurs fiscaux, qui ne sont pourtant que des parasites, qui n’ont à offrir à leurs semblables que leur cynisme, leur obcénité et leur égoïsme à couper au couteau.
Concernant l’autisme, il y a encore bien du chemin à parcourir.
Pour cela, il faut des moyens. L’Hopital, la recherche, les établissements spécialisés relèvent directement et indirectement du service public au sens le plus élevé du terme.
Pour fonctionner il doit avoir des moyens. Or les gens au pouvoir, en France et en Europe, sont opposés à l’intérêt général, au bien et au service public.
Partisans stupides de l’austérité et de la récession, ils travaillent de fait automatiquement pour le massacre des services publics.
Les privilégiés du système ultra libéral, déjà bien trop riches, doivent avoir toujours plus et « les autres », les 99%, toujours moins.
Les politiciens qui déclarent vouloir faire avancer la cause de l’autisme et qui par ailleurs ne font rien pour se donner les moyens financiers de promouvoir une politique progressiste, sont des menteurs !