Tant qu’on parle de Nestle et les comportement « extrémiste » voici un bel exemple qui met en lumière comme le président de Neste déforme la réalité en semant volontairement la confusion dans la tête de gens .
— début de citation —
Multinationales suisses sous le feu de la critique
Les entreprises suisses sont fréquemment confrontées à des violations
des droits humains et de l’environnement dans leur chaîne de production.
Glencore, par exemple, a été dénoncée pour abus des droits humains et
pollution de cours d’eau en République démocratique du Congo [6]. Elle a
également porté gravement atteinte à la santé de centaines de personnes
vivant aux environs de ses mines de cuivre en Zambie. Nestlé a une
longue tradition de polémique : parmi les affaires les plus récentes, on
peut mentionner notamment le non-respect des droits syndicaux en
Indonésie [7] et en Russie [8], ainsi que les conditions de travail
indignes qui règnent dans les plantations de cacao en Afrique de l’Ouest
[9]. Trafigura s’est faite une triste réputation quand, en 2006, le
« Probo Koala » – un cargo affrété par ses soins – a déversé des déchets
pétroliers très toxiques en Côte d’Ivoire. Ces déchets ont fini leur
course dans des décharges à ciel ouvert autour d’Abidjan. Il en a
résulté une énorme catastrophe sanitaire qui a empoisonné des dizaines
de milliers de personnes et fait officiellement 15 morts [10].
Roche et Novartis, enfin, ont été mis sur la sellette pour leurs séries
de tests de médicaments liés à des transplantations d’organes en Chine.
La plus grande part des dons d’organes en Chine provient de prisonniers
condamnés à mort. Les entreprises suisses n’ont pas été en mesure de
fournir des informations sur l’origine des organes transplantés [11].
— fin de citation —
source : http://www.solidar.ch/la-suisse-repaire-des-multinationales.html