J’aurais eu des soucis pour avoir mis la ceinture de sécurité, j’aurais raconté mon expérience malheureuse.
J’aurais considéré cela suffisant pour que chacun voie la ceinture avec une part de circonspection.
Quand bien même j’aurais recensé d’autres personnes ayant vécu des difficultés avec ce dispositif, j’aurais renoncé à les compiler car j’aurais phagocyté le quant-à-soi de ces personnes, j’aurais manipulé leur cas.
Toute association de victimes d’un système ou dispositif manipule, exagère, force le trait et caricature pour essayer de récupérer des millions.
Même ceux qui ont bien survécu au Concordia théâtralisent leur drame pour obtenir des millions.
Tous traumatisés pour un rien.
C’est les Poilus de la Der des ders qui en secouent la tête alors
Tabac, OVNI, apparitions, moquette, divorce, viol, avortement, toutes les aventures et mésaventures devraient rester personnalisées, immédiatisées, non médiatisées (pas de porte-parole) et apparaître à chacun par le biais de quelque « Ça se discute » de Delarue. Ca sufirait amplement en termes d’impact, ce serait ventilant mais non imposant.
En contestant par le biais de la généralisation ou du cohortisme, on procède comme ceux qui ont positivement généralisé, on prend les gens pour des veaux qui ne doivent se nourrir que d’additions actuaristes de cas. On veut laminer toute autre thèse, on est impérialiste. On ne ventile pas, on submerge, on est totalitaire.
Nous ne sommes pas des assureurs.
Nous ne sommes pas des poly assurés.
Nous avons à vivre l’aventure de la vie, gamelles comprises.
Il fut un temps où chacun se nourrissait de l’expérience de proches (en live ou racontée) pour se prudencer (chaude-pisse comprise)
Si chacun ne devait plus tirer sa prudence, son modus vivendi, que de cohorteurs ou d’associations de victimes, cela nous conduirait à ne plus accorder aucun crédit, aucune valeur aux relations immédiates pour ne trouver signifiantes que les relations médiatiques, que ce qui sortirait d’un haut-parleur autorisé, donc, forcément, du haut-parleur le plus autorisé.
Ce qui serait d’accomplissement orwellien.
Vu les dimensions mondialistes de nos entreprises (actions), nous ne pouvons sans doute pas nous contenter des témoignages directs de nos proches. Ils n’y suffiraient pas.
Mais le biais en « Ça se discute » me semble correct (Faux-témoins compris puisque le gros mensonge est partout dans notre monde sub-villageois).
Un faux témoin ici ou là dans un ’’Ça se discute" c’est peu hystérisant donc gérable.
Un buzz autour d’un rapport cohortiste bidonné est hystérisant donc moins gérable.