10m2 par personne ? Peuchère... cela représente « juste »
630 millions de m2 de panneaux photovoltaïques pour la seule
métropole !! Vous en avez d’autres comme celle-la ?
L’auteur(e) parle de panneaux thermiques, et non photovoltaïque, comme vous le prétendez pour lui asséner un grand coup d’épée...dans l’eau.
Chauffer l’eau (ou l’air) par l’énergie du soleil se fait assez simplement. Et là où il n’y a pas de soleil, il y a de l’eau...
C’est strictement impossible puisque l’hydroélectrique,
qui a atteint son optimum de production en France (il n’est plus
possible d’installer de nouveaux barrages)
Des mega barrages on ne peut plus, mais il serait possible d’en construire beaucoup de taille plus modeste sur la partie inférieure des cours d’eau, comme celui sur la Dordogne. Avec l’avantage de ne pas altérer la qualité de l’eau, au contraire de la revivifier en oxygène (eau plus froide à 8 ou 10 m de fond, et donc plus oxygénée). Comprenez que l’eau d’un fleuve ou d’une rivière est de l’énergie en marche, 24h sur 24.
La raison véritable de l’engouement pour le nucléaire en France est notre position de leader sur le marché. Il faut bien vendre des centrales à l’étranger, c’est bon pour le commerce extérieur. Et donc commençons par montrer à quel point le nucléaire est indispensable (vous êtes là pour ça).
L’éolien est un gadget coûteux et peu productif, destructeur du paysage, inutile d’en parler, ça sert de poudre aux yeux pour le green washing.
En réalité aucun soucis à se faire, on remplacera le nucléaire sans problème. L’énergie est partout, un éclair résulte d’une différence de potentiel électrique, la seule chose est de mieux comprendre cette énergie terrestre.
Il existe d’autres exemples, le sur-unitaire est possible, à partir du moment où l’on capte l’énergie dans l’environnement ce n’est pas un miracle, et cela ne remet pas en cause les principes de conservation ou de pertes. L’énergie est partout.
Un seul exemple (il y en a d’autres) une conversion d’énergie à partir de matériaux comme le cuivre et l’aluminium, dans lesquels le courant électrique génère des champs magnétiques inverses (dextrogyre ou lévogyre) et le captage de surplus énergétique. Innovation déjà réalisée.