Pourquoi la question n’est pas reconnaître la perversion narcissique ?
C’est caractéristique du sujet cette inaptitude a désincarnée le mécanisme.
Pourquoi on parle de l’autisme, de la schizophrénie, et DU pervers ... pourquoi ?
Au premier abord j’ai cru a un article plein de hauteur sur ce sujet difficile, mais la hauteur est sévèrement limité par cette amarre, c’est inaptitude a ne plus parler d’une incarnation en prise direct avec nos émotions.
En ces condition, le travail de fond deviens inaccessible à la raison.
Le sujet précède Racamier qui a traité sur pied un tout « individu + pathologie » qui fait beaucoup de mal a l’analyse sereine.
C’est pourtant un thérapeute familiale, qui traitait une pathologie a l’échelle non pas de l’individu, mais du groupe, ce point est primordiale pour comprendre.
Il faut lire Paul Watzlawic pour comprendre a quel niveau travaillait celui qui a isolé ce « problème », et comprendre le lien entre la systémique, la cybernétique et l’école palo alto
Il est question des mécanismes entre les individus indépendamment de ceux-ci, et de leur fonctionnement interne que l’on ne traite pas (ou comme une boite noire).
Si le classement international des maladies ne reconnaît pas cette pathologie il y a bien une raison. Cette raison c’est que l’échelle de traitement n’est pas l’individu, mais le groupe. relisez l’article et remarquez a quel point tout est décrit selon les problèmes inter-individu.
LA PERVERSION NARCISSIQUE est une pathologie du groupe.
L’individu se porte bien avec d’ailleurs, c’est le groupe qui souffre.
C’est pourquoi traiter le problème de façon incarné en parlant du pervers narcissique est vain, sauf pour vider la colère que ce mécanisme crée.
Le sujet individuel est le raté dans le développement humain qui consiste a reconnaître l’autre, de reconnaître des besoins de l’autre... et contrairement a ce qui émane des texte sur le pervers narcissique qui deviens une sorte de monstre de foire, c’est pas incompatible a une échelle non extrême, ni avec vous, ni avec moi.
Mais c’est tellement confortable de décider que le méchant c’est forcément l’autre ... qu’on s’échine a dépeindre « le pervers narcissique » avec une précision qui nous somme ainsi immunisé contre toute identification ... ce qui protège et préserve ce mécanisme qui consiste a éviter de franchir le pas de l’identification de la souffrance de l’autre.
Parler du pervers, sert le pervers.
Kirikou n’est pas grand, mais il reconnait que la sorcière souffre. Ce conte africain ancestrale traite du même sujet mais autrement.
Préserver l’impossibilité d’empathie avec un individu incarné comme le mal absolue le protège lui, ce monstre, d’une reconnaissance mutuel des besoin de chacun. Peut être qu’a force d’être maltraité quant elles essayent, ces victimes rendent le monstre monstrueux sous les ordres du monstre lui même.
Vous me suivez ?