@ Gaspard Delanuit,
Si ma déclaration peut-être perçue comme péremptoire, car je n’ai pas pris la peine de la démontrer, prétendre qu’elle est infondée est tout aussi péremptoire que ce que vous me reprochez. Il ne suffit pas d’opposer une contradiction en agissant exactement de la même façon que celle que vous critiquez chez autrui. Cela revient à se « foutre de la gueule du monde » en cherchant à avoir raison par n’importe quel moyen.
Affirmer, comme vous le faîtes, que : « Rien n’a jamais été scientifiquement démontré en matière de psychologie... », revient à afficher son ignorance en cherchant à l’imposer aux autres. Pour le cas qui nous concerne ici, des différences significatives ont été trouvées entre le cerveau des personnalités perverses narcissiques (nous verrons dans un prochain article qu’elles peuvent avoir beaucoup d’autres noms, d’où le fait de ne pas trop s’attacher à un concept plus qu’un autre, l’important résidant dans l’information sur les processus décrits et non pas sur son « archétype » qui les incarne) comparé à des personnes « normales » formant la grande majorité de la population. A vrai dire, il existe désormais tellement d’études sur le sujet ayant constaté ces différences-là que les nier relève plus de la mauvaise fois que d’une quelconque autre volonté d’en débattre.
Ces différences ont été mesurée par IRMf (imagerie à résonance magnétique fonctionnelle, l’activité cérébrale est filmé dans l’exécution de certaines tâches), EEP (électroencéphalogramme mesurant l’activité électrique du cerveau et de ses différentes ondes toujours lorsqu’il exécute certaines têches), TEP (topographie à émission de positon mesurant l’activité du cerveau, afflux sanguin et autres), etc.
Aussi, votre remarque ne fait que témoigner d’une profonde méconnaissance de cette problématique, de ce fait : qu’est-ce qui vous motive à intervenir sur un sujet dont manifestement vous ignorez tout (comme beaucoup d’autres d’ailleurs, de ce côté là vous êtes parfaitement « normal ») ???