... erreur de manip, j’ai envoyé mon précédent message sans pouvoir le corriger, J’en connait un qui ne va pas me louper pour l’occasion. LOL ! (Comme si nous devions en faire un drame national).
Donc, poursuivons...
Lorsque vous dîtes : "A supposer que l’on puisse, grâce à votre concours, reconnaître ces
diables à forme humaine (l’illustration de votre texte est bien un
vampire, n’est-ce pas ?), que proposez-vous que nous en fassions ? «
Si ce n’est que je m’explique aussi un peu la dessus en citant George ORWELL dans le message déjà cité, je dois préciser que je n’ai pas encore traité la partie concernant la victime de cet imbroglio relationnel. Et je crois que la réponse à votre très pertinente question : »que proposez-vous que nous en fassions ?« pourra être précisée à ce moment-là.
Pour ma part, d’une, je pense que la réponse doit être collective (mais pour quelle le soit, encore faut-il comprendre les tenants et les aboutissants de ce qui est un véritable fléau de société, lire à ce sujet mes échanges avec Christian Labrune suite à mon premier article), et de deux, nous serons tous moins manipulables si nous comprenons comment et par quoi on nous manipule aujourd’hui pour peu à peu instaurer un »totalitarisme rampant« dans notre »démocratie« . Cette forme de nouveau totalitarisme est déjà en œuvre depuis pas mal de temps et sans prise de conscience collective, l’évolution que nous connaîtrons ne se fera pas pour le meilleurs. Bon... bref... je m’égare là. Je dis bien souvent que nous ne traversons pas une crise économique, écologique ou tous les noms d’oiseaux que nous pouvons lui donner, nous traversons une crise paradigmatique, c’est-à-dire que notre système de pensée actuel ne permet plus de rendre compte de la complexité du monde dans lequel nous vivons aujourd’hui.
Si vous prenez soin de lire les échanges que je vous ai indiqué, vous comprendrez que pour moi et contrairement à la vision dont certains me prêtent ici, selon moi et tout comme pour le vampire (oui, c’est bien une »image« qui colle au p.n.) la notion de pervers narcissique (c’est le terme que j’emploie en raison de sa particularité actuelle qui tient de l’acceptation que notre société lui donne, mais cela chut... c’est un secret) n’est pour moi qu’un archétype. Dans mon prochain article, je compte parler d’un autre concept qui y fait référence avant de traiter le sujet des victimes. J’y citerais (de mémoire) une bonne vingtaine de dénominations différentes.
Pour ce qui est de votre lien, lorsque je parlerais de la victime, vous comprendrez d’où vient cette histoire de »reptilien" et à quelle réalité elle correspond. Vous verrez, ça ne viendra pas si vite, mais vous pourrez alors faire des liens qui pourront peut-être vous éclairez un peu mieux (à condition de ne pas nier les techniques de recherches scientifiques que je vous ai précédemment citées
!).