Le capitalisme brille par sa capacité de tirer profit de tout, et à la veille de sa mort, soyons sûr que ce système sera assez fou pour tenter de tirer profit de celle-ci.
La faute aux fils ou à la maison de retraite. ?
Faut en vouloir à un tigre de se servir des dents et de ses griffes ?
Les intérêts privés se sont imposés là où l’état leur a laissé du champ. Le marché de la vieillesse et des maisons de retraite est le secteurs où le retour sur investissement est le plus rentable.
Le grand age n’est pas la terre promise, ni un endroit pacifié : C’est dans les faits le dernier révélateur des inégalités, des situations de rente, et de la puissance des margoulins. On a laissé à ces derniers la capacité de se faire leur pelote, sur le désarroi, l’handicap, et l’obligation de s’en remettre.
Qu’un enfant se rebelle, ose demander des comptes, et le voilà taxé d’indigne. Ne restera plus que les obsèques, où il se retrouvera d’ailleurs confronté aux même croquemorts avides, le pressant d’orner le cercueil de poignées en argent, afin de mieux son amour et son chagrin....
Le prix des maisons de retraite est si élevé en France, que beaucoup tentent de placer leurs parents à l’étranger. Voilà encore une de nos belles spécificités.
Tant mieux pour vous si vous avez de la fortune, ou, et un bon métier, sinon, vous serez spoliés. Généralement pas les gens riches, pourtant : Leurs géniteurs ont en effet de solides économies, un patrimoine important, qui laissera d’’ailleurs à leurs enfants un héritage à peine amputé. Les enfants de la bourgeoisie, ne souffrent donc pas de cette situation, puisqu’ils ne seront pas mis à contribution, avoir avoir tiré profit dans leur éducation, et dans leur formation, de la richesse de leurs parents.
Quand aux autres, ces pauvres prolos, mis sur le marché du travail ou du chomage dés leurs 18 ans, il faudra bien qu’ils paient, une fois mis en demeure de le faire.
Et voilà bien le dernier maillon du scandale, de l’injustice qui perdure jusqu’à la tombe, ou ses frontières.
La vieillesse et la dépendance devraient être prise en charge par l’état, dans des institutions publiques, où l’intérêt financier ne prime pas. Charge revenant à l’état de se rattraper ensuite sur le patrimoine des parents, mais pas au delà, et dans des limites qui ne devraient pas dépasser un certain seuil non spoliatif.
De même d’ailleurs pour tous les secteurs de santé ! Voilà qui résoudrait en très peu de temps,le déficit de la sécu : Payer des professionnels dont le salaire ne dépend pas de la maladie ; trop ont en effet intérêt à l’entretenir savamment, afin de garantir leurs intérêts !