« ...A moins que l’espèce humaine freine sa reproduction, autant demander à un lapin d’arrêter la carotte. »
mdrmdr !
Puisqu’on nous dit que quinze, vingt, trente milliards d’humains voire plus est chose logique, normale et que nous avons ce qu’il faut pour pouvoir nourrir cette humanité en devenir... !
Sauf que, même en supprimant les aliments carnés de notre alimentation, les terres ne sont pas inépuisables...et ce d’autant plus que pour obtenir un bon rendement, pesticides et engrais chimiques sont devenus la norme...
Saletés que l’on retrouve dans les nappes phréatiques en plus des molécules de médicaments... Que nos rivières moussent n’inquiète pas grand monde, que des villes comme grenoble vu des montagnes semblent en permanence couvertes d’un couvercle jaunâtre mélange de pollution automobile et industrielle est chose banale... l’ashme et les allergies devenues choses courantes en constante augmentation..
L’humanité n’est plus en partie décimée régulièrement par les épidemies de peste ou quelconque virus tel que la grippe espagnole.. comme si l’infiniment petit nous déclarait la guerre. Une forme d’auto régulation programmée du vivant.. ?
Hygiène et medecine nous permettent de vivre 3 fois plus longtemps qu’au XiXème siècle.. avec un niveau de consommation jamais atteint par le passé par habitant...
Ce qui in fine, m’amène à en déduire que ce n’est pas tant quelques sacs en plastique qui pollue la planète pas plus que deux ou trois exploitations de charbons ou de gaz de schiste mais bien nos besoins sans cesse croissants en énergie, en nourriture, en médicaments, en logements, en moyens de transport, en axes routiers etc....
Le hic c’est que pour faire face aux dépenses liées à l’augmentation de la durée de vie, nous encourageons l’accroissement démograpique avec les conséquences que l’on connait sur l’écosystème, l’environnement en terme de nuissances diverses et variées..
le serpent qui se mord la queue.. en quelque sorte..
La solution passerait pourtant par une régulation des naissances décroissante afin que l’humanité se maintienne à un nombre stable d’individus, (500 millions) lesquels bénéficieraient alors d’un monde moins pollué, d’une surface de vie par personne qui permettrait à chacun de bénéficier d’un habitat individuel et non pas d’un tout collectif vertical comme celui vers lequel les générations futures s’achemineront inexorablement...
Pourquoi ne pas responsabiliser les enfants à l’école ? leur montrer l’impact de leurs choix en la matière sur le devenir des générations suivantes ?
ce serait déjà un bon début...