Les autorités locales et métropolitaines sont tellement obsédées par le chômage qu’elles en sont arrivées à accepter les projets les plus anti-écologiques qui soient : forage au large des côtes, orpaillage à l’intérieur des terres. C’est une course sans fin que « nous » sommes sûrs de perdre. La Shell a fait miroiter des emplois qui ne correspondent même pas à 6 mois de naissances...
Si nous voulons que la Guyane, la forêt amazonienne, les amérindiens et la faune sauvage puissent survivre, nous devons maîtriser la cause de la pression humaine sur le milieu, à savoir la démographie galopante : il faut tout de même savoir que le taux de fécondité de la Guyane (3,4 enfants par femme) est le plus élevé de TOUTE l’Amérique du sud...
Et les guyanais ne sont évidemment pas plus prolifiques que leurs voisins brésiliens ou surinamiens. Seules les prestations familiales sont en cause : sous les tropiques elles sont un fléau.
Il faut bien entendu contrecarrer ce projet écocide, et entre autre signer la nouvelle pétition sur le site des
cyberacteurs, mais sur le long terme, la seule issue est la
démographie responsable.