Monsieur, avant de vous répondre pour la dernière fois j’ai dû me farcir au moins deux de vos articles (Je les ai lu en entier, je vous sais très sensible sur ce sujet), histoire de voir à qui j’avais affaire, ne voulant pas me limiter à votre première intervention calomnieuse vis-à-vis d’un homme politique qui d’après vos affirmations est complice, entre autre, des accusations monstrueuses de meurtres et de viols d’enfants.
Au-delà du fait que la calomnie publique, même sur le web, est passible d’une sanction pénale. De telles affirmations vous rendent vous aussi complice de ces faits si vous déteniez des preuves que vous ne produisiez pas, ce que je doute … mon petit bonhomme.
J’ai donc lu une partie de votre longue masturbation intellectuelle. La forme est plaisante, le fond pas du tout.
Vous ne vous servez pas de vos capacités rédactionnelles évidentes pour défendre une idée, une cause, un raisonnement, mais juste votre sentiment d’être intellectuellement supérieur, l’apologie du « moi je » poussé à son paroxysme en quelque sorte. Vous avouerez que c’est quand même un paradoxe pour un pourfendeur de la manipulation médiatique orchestré par un complot mondialisé, de se manipuler lui-même…
Pour conclure et résumer en une phrase, même si je ne partage pas grand-chose avec ce grotesque personnage : n’est pas Soral qui veux.
Je vous laisse médité mes propos et retourne auprès de mes tracts, mes camardes, mes cintrages et accessoirement le service juridique du parti de gauche.