@ L’enfoiré
Il
me semble au contraire que c’est vous ici qui limitez la réflexion. Alors je
répète ma question autrement, en prenant en compte "la foule des
conséquences juridiques" sur lesquelles vous insistez :
En
quoi un partenariat interdirait-il,
pour les homosexuels qui en feraient le choix, de prévoir "la succession
des biens d’un partenaire sur l’autre en cas de décès" équivalente à ce qu’elle est dans le mariage ?
Ce
que je trouve détestable dans la revendication de la minorité homosexuelle
exigeant la loi - et dans la décision du gouvernement de les satisfaire - c’est
la volonté de casser le mariage tel qu’il est depuis toujours pour le remplacer par un « mariage » à leur convenance.
Cette
exigeance est d’autant plus égoïste et hypocrite qu’elle vient d’une partie de
ceux qui, depuis longtemps, militent pour la reconnaissance et le respect de
leur différence.