Ca fait plaisir de voir que beaucoup d’internautes ont compris l’origine et la raison de la dette.
Avant
73, elle n’existait pas. C’est la loi Rothschild -Pompidou, qui obligea
l’état à ne plus se faire crédit lui même en lançant des
emprunts....Les banques seraient là pour ça, formidable non..
73 : Même phénomène dans tous les pays, pendant qu’au Chili,
Kissinger se servant de Pinochet met au pas la révolution sociale
d’Allende, et impose pour la première fois un plan de privatisation qui
sera le premier d’une série : Ce n’est pas pour rien que Thatcher sera
la copine de Pinochet, ainsi que de Reagan ; ces marionnettes
politiques, dans la main des services financiers, impose le jeu
mortifère d’un économiste fou, MILTON FRIEDMAN, qui se fera le chantre
de la mort des états, et de leur soumission au FMI, à l’OMC, bradant les
avoirs des états, les incitant à privatiser à tout crin, puis à emprunter pour faire face aux échéances des états.
.Comment des puissances industrielles, en bonne santé, ont elles accepté
de se dépouiller, de vendre leurs brevets, de se mettre la corde au cou, de liquider leur appareil
industriel, acceptant de faire une course avec des règles qu’ils étaient
les seuls à respecter, contre des état qui allaient leur tailler des
croupières, voilà la question que les historiens du futur se poseront,
avant de mettre en évidence la corruption,, la bêtise, l’arrivisme, ou
la cécité des dirigeants, ( sans doute un peu des quatre)
Un emprunteur est dans la main de celui qui prête. Le but était
limpide. On avait les atouts pour culpabiliser les citoyens de tous
pays, et de trouver le justificatif d’une cause inventée de toute
pièce à l’aggravation de cette dette qu’on avait créer : Le social.
Mécanique logistique bien huilée.
Avec la dette on allait pouvoir reprendre ce que les capitalistes avaient été obligé de lâcher, au fil des décennies.
Cette nouvelle forme de capitalisme débridée, décomplexé, comme ils
disent, s’apparente en fait à une forme de cancer : Il se nourrit de
cellules saines, et n’a pas de but en soi, sinon sa seule satisfaction
immédiate, déconnecté des enjeux vitaux, et des régulations nécessaires à
la bonne marche, que ce soit au niveau d’un individu ou de la planète.
Les nations et la couleur des drapeaux n’existe plus guerre que pour les équipes de foot. Soyez sur que notre oligarchie est bien plus proche de ses collègues de NY, ou de Moscou, et de ses intérêts, que d’un prolo de saint Étienne. L’affaire depardieu, au dela de son coté burlesque, en est le révélateur
Autre mot piège, celui de crise.
Cette crise n’existe pas.
Ce
n’est qu’un leurre là aussi pour faire supporter aux gens une nouvelle
réalité, qui si elle était avouée, serait déprimante, et risquerait
d’allumer la mèche.
Pas de crise, juste un nouveau choix de société : Augmenter
considérablement les revenus d’une minorité au détriment de la masse, et
récréer ainsi la hiérarchisaton des anciens régimes féodaux,
nobiliaires, avec cerfs, et seigneurs.