allez, Olivier, je vous offre un voyage dans le temps :
Tessalit est une oasis située sur les limites sud-orientales de l’Erg Azour, au Nord-Ouest de l’Adrar des Ifhogas, c’est-à-dire à 400 kilomètres environ au sud du tropique du Cancer, alors en Afrique Oriental Française et actuellement au Nord du Mali, juste sous la frontière extrême sud de l’Algérie. Il y avait là un camp d’aviation et un poste météo. Dans la nuit du 3 au 4 octobre 1951 deux officiers de l’aviation militaire et quelques hommes dormaient dehors, à l’extérieur du bord sous le ciel cristallin et immobile du désert.
Un des officiers a rapporté
« Je me réveille à 2 heures du matin, et n’arrive pas à me rendormir. La nuit est noire, les étoiles très lumineuses, l’air calme. »
« Soudain, venant de l’est et approchant rapidement plein ouest ou à peu près, j’aperçois une lumière. Elle descend. Peut-être est-ce lé le feu avant d’un avion qui veut atterrir ? J’éveille donc l’équipage qui dormait à côté. Mais on n’entend aucun bruit. Ce n’est pas un avion. »
« Après quelques secondes, les formes de l’objet apparaissent nettement : c’est un engin à peu près circulaire, ayant le diamètre apparent d’un cercle de 10 centimètres, couleur jaune sombre, presque orangée. Il continue d’approcher en descendant lentement, à la vitesse d’approche d’un avion type DC3 de nuit. »
« Arrivé à la verticale du bordj-village de Tessalit, à 6 kilomètres environ dans le sud-est de l’endroit où nous étions, l’objet effectue un virage de plus de 90 degrés vers la gauche, passant par conséquent à peu près au cap 170/180 degrés. Il accélère, sa vitesse devient étonnante, il monte très rapidement tandis que l’on voit décroître son diamètre apparent, et disparaît. »
« Le poste météo de Tessalit n’utilisait pas de radio-sonde à l’époque : la confusion avec un ballon ne paraît donc pas possible. D’ailleurs, la vitesse d’éloignement de l’objet exclut toute possibilité de ce genre. »
Dans son enquête des Forces Aériennes Françaises, parue dans la revue de l’Armée de l’Air, le capitaine Clérouin classe l’observation de Tessalit parmi les phénomènes « non expliqués ».
et celui là, c’est un excellent témoignage....
il était dans les numéros de LDLN...
sur Clérouin
en prime il avait ce l’humour le Clérouin
Mais surtout, pour permettre à une seule soucoupe de s’envoler, il faudrait une révolution industrielle, l’effort de tout un pays, une véritable mobilisation des richesses, des moyens et des esprits. Sacrebleu ! C’est comme si vous parliez de monter une locomotive dans ma chambre à coucher à mon insu.
j’adore sa définition.