Bonjour Olivier
La plupart des articles sur l’intervention au Mali souligne les intérêts
de la France, suggérant par là que s’il n’y avait pas les enjeux
économiques, il n’y aurait pas d’intervention.
On peut se poser la question, en tout cynisme, et en oubliant tout de
même qu’elle est intervient aux Balkans, où il n’y avait de matières
premières, et d’uranium à extraire.
De fait, l’intervention française s’inscrit bien dans la lutte contre le terrorisme.
Ou contre les régimes mafieux, les soi disant seigneurs de la guerre tentant le coup de force, un kalashnikov à une main, le coran dans l’autre, auquel ils imposent une culture biaisée.
Ces gens là à une autre époque auraient brandi le petit livre rouge, un autre jour « Mein kampf ». L’essentiel est de se dédouaner pour imposer la terreur.
Le salafisme permet bien de casser les gens psychologiquement, afin de les désorienter, et d’en faire des moutons dociles.
J’entendais ce matin le récit halluciné de ces pauvres jeunes filles victimes de viols à répétition dans les régions du nord, où le peuple vit sous la coupe de ces abrutis.
J’écoute la radio, je lis les journaux.
Les maliens, de l’intérieur, tout autant que ceux vivants sur le territoire français, se félicitent de cette intervention.
Comme nous nous étions félicité de celle des américains, en 44. Il y a des moments où la lutte contre le mal est si facile à identifier qu’elle en devient évidente.