A cette époque, avant la guerre, personne ou presque n’était en mesure de comprendre le projet véritablement totalitaire d’Hitler : Bien entendu, il n’a jamais publié son « Mein kampf » dans lequel il exposait en long, en large et en travers toute sa politique criminelle à venir.
Bien entendu, personne n’a remarqué qu’ il avait commencé à appliquer point par point son programme : remilitarisation de la Ruhr, retour du service militaire, annexion de l’ Autriche, retrait de la nationalité allemande aux Juifs, pogroms d’ Etat au vu et au su de tous...
« C’est quoi son point suivant ?
- Hum, l’espace vital allemand. Conquêtes territoriales à l’est. Tu crois qu’il va toucher à la Pologne ?
- Nan. Il a fait tout ce qu’il avait prévu de faire avant mais ça il le fera pas. Comme une politique d’éradication des juifs, des malades et des invertis. »
qui s’est vraiment et ouvertement opposé à lui, à part, je vous signale, une partie de la droite patriote française ? : la SFIO ?
La plupart des dirigeants occidentaux l’admiraient plus ou moins ouvertement : faux. Si certains seconds couteaux faisaient preuve d’admiration, les gouvernements occidentaux savaient à quoi s’en tenir.
Mais vous faites sûrement partie de ces petits minables qui se permettent de juger comme « lâche » le comportement de la grande majorité des français qui, sans collaborer, ne se sont pas révoltés contre l’occupant allemand. : On ne peut pas qualifier leur comportement d’outrageusement courageux non plus...