L’Algérie jouerait sa propre partition en allant parfois dans un sens, parfois dans l’autre mais toujours avec l’objectif de contrôler cette même région...
VSD révèle que c’est le président Barack Obama qui a convaincu son homologue algérien de la nécessité d’installer un centre d’écoutes dans le Sahara. Cette sollicitation a été introduite lors de la visite à Alger, le 22 novembre 2009, du général William E. « Kip », Ward, 60 ans, commandant en chef de l’Africom, le commandant des États-Unis pur l’Afrique « Reçu discrètement à la présidence de la République, il convainc Abdelaziz Bouteflika d’ouvrir une base d’écoutes sur le sol algérien. » L’argument du général ? Une partie de ces interceptions téléphoniques et des informations recueillies par les radars bénéficiera aux autorités algériennes. Lors d’une conférence de presse tenue le 25 novembre à l’ambassade US à Alger, Ward jure qu’il n’y aura pas de base américaine en Algérie. Ce démenti de la part de Ward a été émis à la demande du président Obama. Mais précise, VSD, les choses n’en sont pas restées là. C’est Abdelmadjid Saheb, commandant de la 4ème région militaire, qui a été chargé de coordonner, côté algérien, l’acheminement du matériel et des équipements de la future base. Mr. Saheb effectuera ainsi quatre voyages aux États-Unis entre novembre 2009 et juillet 2010.
Le choix s’est donc porté sur la zone de l’oasis lutherie, située à 200 km de la frontière libyenne et à 120 km d’Illizi. C’est à Illizi que 32 touristes occidentaux avaient été enlevés en 2003 par un groupe terroriste dirigé à l’époque par El Para. Les antennes de la NSA, ajoute l’hebdomadaire, couvrent « une zone allant de Dakar (Sénégal) à Khartoum (Soudan), et d’Alger à Lagos (Nigeria). En toute discrétion, une petite armée secrète capte et intercepte la totalité du flux d’informations électroniques » (téléphones satellitaires, GSM, textos, mels, Twitter) de la région. »
VSD affirme encore que la surveillance de ce site a été confiée à une société de gardiennage basée à Pretoria en Afrique du Sud qui « emploie un certain commandant Damink, ancien des services de renseignements sous le régime de l’apartheid, aujourd’hui présenté comme spécialiste des réseaux islamistes dans le monde. » Toutefois, ces deux éléments rapportés par l’hebdomadaire ne sont pas nouveaux. L’existence de cette société de gardiennage ainsi que la présence de ce commandant Damink a déjà été mentionné dès …septembre 2003 par un site spécialisé dans les recherches sur le terrorisme.
30/01 12:27 - morice
http://maliactu.net/mali-modibo-sidibe-preparait-un-sale-coup-selon-le-cnrdre/
21/01 15:05 - Gérard Luçon
non, des gens ayant fait des etudes, parlant plusieurs langues, et prets a gagner 1.000 ou (...)
21/01 14:20 - rené descendre
21/01 14:08 - morice
Moi, ce que je vois, c’est que les populations civiles, à commencer par les femmes et les (...)
21/01 10:23 - Hervé Hum
Hum, en résumé, des criminels se font passer pour des islamistes pour recruter large avec les (...)
21/01 05:05 - agent orange
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