lionel
« Vos
propos génocidaires (en avez vous pesé les conséquence dans la réalité ?
sont abjectes. Fondés sur un problème psychologique et une méconnaissance complète
de la civilisation Tamachek. »
Les vrais génocidaires sont les Touaregs (Tamachaq ou Targui). Les petits
historiens s’arrangent souvent à leur attribuer une origine sur place en
Afrique du Nord, dans le désert du Sahara. C’est une escroquerie intellectuelle.
Cette escroquerie sert à camoufler le génocide que les Touaregs, avec les
arabes, ont perpétré à l’égard des peuples Noirs autochtones.
Les Touaregs en effet sont une branches des populations blanches, nomades
barbares, originaires des pays européens du pourtour de la méditerranée ayant
débarqué en Afrique du Nord par invasions successives à partir de 1300-1200
avant Jésus-Christ, attirées par les richesses des civilisations Noires
d’Afrique du Nord.Jusqu’en 625 avant J-C, les Touaregs, comme les populations
blanches nomades indo-européennes leurs compagnons aventuriers, étaient
constamment refoulés d’Afrique du Nord par les peuples Noirs autochtones.
Ce n’est qu’après l’invasion de l’Egypte Noir des pharaons par les
barbares indo-européens que les Touaregs, entre autres populations blanches
invasives, que les Touaregs, à la faveur de l’invasion de l’Egypte pharaonique par
leurs co-aventuriers indo-européens, prennent le dessus sur les autochtones
noirs. Les populations noires autochtones, subissant des massacres, seront
alors progressivement décimées, délogées, refoulées et pourchassées dans le
Sahara. La plupart de ces populations noires seront réduits en esclavage par
les Touaregs et les arabes. C’est ainsi que s’est formé le Maghreb
berbéro-arabe.
A partir de ces conquêtes, les Touaregs (berbères) et leurs émules arabes
instaurent un régime de pillage des civilisations noires qu’ils dépouillent et
désossent avec avidité. Ils instaurent l’esclavage des Noirs en Afrique du
Nord. Ce sont les Touaregs et les arabes qui ont introduit l’esclavage en
Afrique, en particulier en Afrique du Nord. Ce sont eux qui ont commencé la
vente des esclaves Noirs. Les Touaregs et les arabes ont initié et organisé la
traite des esclaves noirs en direction de l’Europe. Ces esclaves Noirs étaient
soit directement capturés par les Touaregs et les arabes pendant les razzias,
soit fournis par les peuples noirs razziés en échange des dignitaires noirs qui
avaient été capturés.
Les Touaregs, avec les arabes, sont les précurseurs des conquistadors
espagnols qui, plus tard, procèderont à l’extermination des amérindiens. De
nombreux écrits dépeignent cette épopée barbare et esclavagiste des Touaregs et
des arabes en Afrique du Nord. Voici quelques extraits. Notre ami lionel est un vulgaire mercenaire à la solde de « Touareg-Occitan »,
l’internationale des pirates et esclavagistes Touaregs.
« Pendant des siècles, les Touaregs ont pris des esclaves dans d’autres
tribus du désert et se sont mariés avec des membres de celles-ci. » (Wikipédia).
« L´origine de l´esclavage chez les
Touaregs réside en partie dans la très hierarchisée société Touarègue.
L´Akli, comme l´Abîd en
Mauritanie, est le plus bas échellon de l´organisation sociale Touarègue. Les
appartenances éthniques ont bien sûr joué un grand rôle dans cette
organisation... ce sont les Noirs qui subirent ici la domination militaire des
Arabes et des Berbères, délaissant leur culture pour adopter celle de leurs
nouveaux conquérants.
Les Iklan étaient autrefois capturés au Soudan,
puis ils vinrent ensuite de toutes origines... il semblerait qu´ils n´aient été
devenus esclaves que parce qu´ils avaient la peau noire :la racine du mot Iklan semble en
effet être dérivée de « Kl » qui signifie : « être Noir ». Les esclaves des
Touaregs ont formé une lignée propre de descendants, et lorsqu´il devint
difficile de livrer des guerres à outrance, les descendants des esclaves
servaient les descendants de leurs maitres.
Les Iklan doivent une totale obéissance à leurs
maitres, ils gardent les troupeaux, ils assurent les travaux ménagers,
l´extraction, l´empaquetage, le chargement et le portage des quilles de sel sur
les dromadaires des caravanes ...
Le statut de l´esclave est pour les occidentaux très difficile à transposer et
à comprendre.
À l´image de
l´esclave Noir-américain, l´Akli est théoriquement privé du droit fondamental
de liberté. » (Esclavage chez les touaregs).
« Presque
deux siècles après que les Anglais ont interdit la traite atlantique [le 2 mars
1807], il reste encore des esclaves dans certaines régions qui bordent le
Sahara. Les choses ont cependant commencé à changer au Niger, un pays
semi-désertique au cœur de l’Afrique de l’Ouest, où vient de se produire l’une
des plus importantes libérations massives d’esclaves qu’on ait vues.
Au moins 43 000 personnes seraient maintenues en esclavage au Niger, où cette
pratique n’a été déclarée illégale qu’en mai 2004. Selon la nouvelle loi, les
propriétaires d’esclaves, principalement des membres de tribus touarègues
vivant dans les régions les moins peuplées de ce grand pays qu’est le Niger,
peuvent être condamnés à des peines allant jusqu’à trente ans de prison. Cette
loi a été sans grand effet jusqu’à présent. Mais un puissant chef touareg,
Arrissal Ag Amdagh, a récemment décidé de libérer tous les esclaves vivant dans
son campement, à Inatès, à la frontière du Mali, lors d’une cérémonie publique
à laquelle ont assisté des représentants du gouvernement. Il s’agit du premier
affranchissement d’esclaves en masse dans l’histoire du Niger, et les
abolitionnistes espèrent bien qu’il servira d’exemple.
(www.courrierinternational.com/article/.../sept-mille-esclaves-affranch...).