En fait, et vous me pardonnerez de le souligner, votre commentaire sent le soufre, comme beaucoup d’autres et comme également l’article de CHALOT.
Vous êtes si prompt à sauter sur tous ceux qui ne pensent pas comme vous, sans manifester la moindre reconnaissance ou le moindre respect de leurs conviction.
Mieux, les termes dont vous les affublez sont empreints de condescendance (au mieux), voire sont injurieux.
Pourquoi donc voudriez-vous que je respecte les droits de quelqu’un qui ne me respecte pas ?
Vous revendiquez l’égalité ?
Commencez par respecter qui je suis, on en reparlera ensuite.
Ce que je prends pour acquit, dans ce débat, c’est que vous et d’autres réagissez comme des enfants-rois, comme des petits teigneux qui ne veulent rien d’autre que le goûter de l’autre, non pas parce qu’il a faim, mais parce qu’il est différent du sien.
Oui, en enlevant au mariage tel que je l’ai contracté sa connotation religieuse, historique, familiale, institutionnelle, vous m’enlevez quelque chose.
En revanche, et comme je respecte infiniment celui qui n’est pas moi, je n’ai aucune objection à ce que l’on reconnaisse à celui qui n’est pas moi d’obtenir des droits identiques aux miens.
Mais cette reconnaissance ne peut simplement pas être à mon détriment.